1er Salon du cinéma

Le premier Salon du cinéma ouvrira ses portes en début d’année préfigurant un grand cru pour le 8e art. Avec des rencontres autour des métiers s’y rattachant ainsi que des expositions notamment des décors du Marie-Antoinette de Sophia Coppola on découvre également chaque univers qui le compose. Fiche Technique Portes…

Promesses – Avis +/-

Résumé Molly est urgentiste dans un hôpital à Boston et bénévole dans un dispensaire où elle aide une de ses patientes, Sarah, à accoucher. Quelques jours plus tard, cette dernière débarque chez Molly et lui confie quelques jours son bébé, le temps de fuir le père de l’enfant. Mais elle…

Saba – Avis +

Né à Barcelone en 1929, Antonio Parras exerce trente-six métiers avant de se faire dessinateur de BD. D’abord publié dans des revues espagnoles, il s’installe à Paris en 1955. Depuis, il travaille pour des magazines aussi différents que Spirou, Tintin, Pilote, Charlie mensuel ou Vécu. Il met en images les scénarios de Guy Vidal (Ian Mac Donald), George Frontal, André-Paul Duchâteau, Victor Mora, Rodolphe et Le Tendre. Il dessine le lièvre de mars écrit par Patrick Cothias. Dessinateur réaliste au trait précis et minutieux, Parras n’a pas son pareil pour camper un décor et illustrer une ambiance.

Le méridien des brumes est le premier scénario signé Erik Juszezak, né au Cameroun en 1959. Coup d’essai, coup de maître. Pour ses grands débuts de raconteur d’histoires, ce dessinateur qui a troqué le crayon contre le stylo signe un album fascinant. À suivre de très près…

Loris Cecchini, Empty Walls – Just the Doors

Les modules du Palais de Tokyo [[Palais de Tokyo – Site de création contemporaine – 13, avenue du Président Wilson – 75016 Paris]], qui accueillent des œuvres de jeunes artistes et des projets spéciaux à un rythme rapide d’un vernissage tous les mois, sont en activité pendant le mois de janvier. À partir du 11 janvier [[Vernissage public le 11 janvier 2007, de 19h à 21h & vernissage des 2 modules]] réservés aux jeunes artistes et projets spéciaux, un module est consacré à une présentation de vidéos d’artistes étudiants à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, l’autre module accueille une programmation d’un collectif à la fois groupe d’artistes et lieu de production, d’exposition, de diffusion et de promotion de la création actuelle.

Cinéma premier – O’Brother

Dans sa soirée spéciale George Clooney, Cinéma premier diffuse cet excellent film des frères Coen, où les enfants terribles du cinéma américain n’hésitent pas à mélanger les genres, soit de mettre en scène une retranscription de l’Odyssée de Homère, dans l’Amérique profonde au début des années 30. Parodiant les road-moavies,…

Les vergers du mensonge – Avis +

Résumé Kaylee Carter a toujours eu le sentiment d’avoir été adoptée, de ne pas faire partie de la famille. En rébellion ouverte envers ses parents, elle s’enfuit à 18 ans et tombe dans la foulée enceinte d’un repris de justice. Quelques années plus tard, alors qu’elle se débat avec d’énormes…

Dieu n’a pas réponse à tout (mais il est bien entouré) – Avis +

Tonino Benacquista est né en 1961. Après des études de cinéma, il multiplie les expériences qui lui offriront matière à l’écriture de romans comme La Maldonne des sleepings, Trois carrés rouges sur fond blanc ou les morsures de l’aube. Dans la fameuse collection blanche (éd. Gallimard), il est l’auteur de tout à l’ego, le contrat, la boîte noire, quelqu’un d’autre et Malavita. Benacquista écrit aussi pour le théâtre, la bande dessinée et le cinéma : il est le scénariste de deux films de Jacques Audiard, Sur mes lèvres et De battre mon cœur s’est arrêté.

Nicolas Barral est né en 1966. Ancien élève de l’Atelier BD de l’École des beaux-arts d’Angoulême, il collabore au mensuel Fluide glacial et dessine Les ailes de plomb (éd. Delcourt). Avec le scénariste Pierre Veys, il imagine la série Baker Street (éd. Delcourt) et parodie Blake & Mortimer (Menaces sur l’Empire, éd. Dargaud). Nicolas Barral a aussi participé, comme scénariste, à l’ouvrage collectif Vive la politique ! (Éd. Dargaud).

Bilan des lieux 2006 de Cécilia

L’étoile de Paris m’a surprise. Le lieu est chaleureux et bien agencé. On y mange très bien. Les tarifs sont élevés sont être prohibitifs. L’iliade est un restaurant grec charmant où les plats comme l’accueil sentent bon le soleil. Mais, le service est très long. On ne mange que de…