Loris Cecchini, Empty Walls – Just the Doors

Les modules du Palais de Tokyo [[Palais de Tokyo – Site de création contemporaine – 13, avenue du Président Wilson – 75016 Paris]], qui accueillent des œuvres de jeunes artistes et des projets spéciaux à un rythme rapide d’un vernissage tous les mois, sont en activité pendant le mois de janvier. À partir du 11 janvier [[Vernissage public le 11 janvier 2007, de 19h à 21h & vernissage des 2 modules]] réservés aux jeunes artistes et projets spéciaux, un module est consacré à une présentation de vidéos d’artistes étudiants à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, l’autre module accueille une programmation d’un collectif à la fois groupe d’artistes et lieu de production, d’exposition, de diffusion et de promotion de la création actuelle.

Cinéma premier – O’Brother

Dans sa soirée spéciale George Clooney, Cinéma premier diffuse cet excellent film des frères Coen, où les enfants terribles du cinéma américain n’hésitent pas à mélanger les genres, soit de mettre en scène une retranscription de l’Odyssée de Homère, dans l’Amérique profonde au début des années 30. Parodiant les road-moavies,…

Les vergers du mensonge – Avis +

Résumé Kaylee Carter a toujours eu le sentiment d’avoir été adoptée, de ne pas faire partie de la famille. En rébellion ouverte envers ses parents, elle s’enfuit à 18 ans et tombe dans la foulée enceinte d’un repris de justice. Quelques années plus tard, alors qu’elle se débat avec d’énormes…

Dieu n’a pas réponse à tout (mais il est bien entouré) – Avis +

Tonino Benacquista est né en 1961. Après des études de cinéma, il multiplie les expériences qui lui offriront matière à l’écriture de romans comme La Maldonne des sleepings, Trois carrés rouges sur fond blanc ou les morsures de l’aube. Dans la fameuse collection blanche (éd. Gallimard), il est l’auteur de tout à l’ego, le contrat, la boîte noire, quelqu’un d’autre et Malavita. Benacquista écrit aussi pour le théâtre, la bande dessinée et le cinéma : il est le scénariste de deux films de Jacques Audiard, Sur mes lèvres et De battre mon cœur s’est arrêté.

Nicolas Barral est né en 1966. Ancien élève de l’Atelier BD de l’École des beaux-arts d’Angoulême, il collabore au mensuel Fluide glacial et dessine Les ailes de plomb (éd. Delcourt). Avec le scénariste Pierre Veys, il imagine la série Baker Street (éd. Delcourt) et parodie Blake & Mortimer (Menaces sur l’Empire, éd. Dargaud). Nicolas Barral a aussi participé, comme scénariste, à l’ouvrage collectif Vive la politique ! (Éd. Dargaud).

Bilan des lieux 2006 de Cécilia

L’étoile de Paris m’a surprise. Le lieu est chaleureux et bien agencé. On y mange très bien. Les tarifs sont élevés sont être prohibitifs. L’iliade est un restaurant grec charmant où les plats comme l’accueil sentent bon le soleil. Mais, le service est très long. On ne mange que de…

Sérieclub – Oz

Les deux premiers épisodes ayant été diffusés la première semaine de janvier, je suis désolée de prendre le train en marche pour parler d’une des plus grandes réussites de la chaîne cablée HBO. Série coup de poing, sans vraie vedette, il s’agit d’une immense partie d’échecs engagées entre détenus de…

Le petit peintre du Rajasthan

Le Rajasthan, ou pays de rois, est un État de l’ouest de l’Inde dont la capitale est Jaipur. Synopsis Aniket est un cadre moyen angoissé et peu affable. Un jour, il pose son fils unique Anirudh à Shekhawati, une ville du Rajasthan, où vit sa mère. C’est là que l’aventure…