Jupons et poisons – Avis +

Présentation de l’éditeur

Toujours élégante, Sophronia continue sa deuxième année au pensionnat – avec un éventail à lames d’acier dissimulé dans les plis de sa robe de bal, bien évidemment. Une arme tendance et fort à propos, puisque la jeune espionne, sa meilleure amie Dimity, l’adorable soutier Savon et le charmant Lord Felix Mersey montent clandestinement dans un train en direction de l’Écosse pour ramener leur camarade de classe Sidheag à sa meute de loups-garous.

Personne ne se doute de ce qu’ils vont trouver – ou qui – à bord de ce train étrangement vide. Alors que Sophronia met à jour un complot susceptible de plonger Londres tout entière dans le chaos, elle va aussi devoir décider une bonne fois pour toutes vers qui va sa loyauté.

Rassemblez vos poisons, affûtez vos plumes d’oie et rejoignez les jeunes et
gracieuses machines à tuer du pensionnat de Mlle Géraldine dans ce troisième volume passionnant offert par l’auteur steampunk à succès Gail Carriger.

Avis de Claire

Après Etiquette et Espionnage et Corsets et Complots, voici venir le troisième volet des aventures du Pensionnat de Mlle Géraldine, Jupons et Poisons. Pour rappel, nous sommes toujours dans l’univers du Protectorat de l’Ombrelle, mais quelques années plus tôt, les lecteurs de cette saga auront d’ailleurs beaucoup de plaisir à croiser quelques personnages connus, notamment une certaine Sidheag Maccon, les fans comprendront…

Sous le règne de la Reine Victoria, nous retrouvons la sémillante beauté aux yeux verts, Sophronia Temminnick, dans son pensionnat si spécial, où l’on apprend plus à cacher des lames acérées dans les plis d’une robe qu’à faire la révérence. Encore une fois, la jeune fille et toute sa bande se retrouvent mêlées à un complot de grande envergure.

Impossible de résumer l’intrigue sans trop en dévoiler, mais l’essentiel ici n’est pas tant l’intrigue justement, mais plutôt l’étonnant monde steampunk dans lequel évoluent les personnages, c’était un univers déjà bien maîtrisé dans Le Protectorat de l’Ombrelle (et sans doute était-il plus original d’ailleurs). On retrouve également le ton iconoclaste et plein d’humour so british de l’auteur, parfaitement rendu par la traduction.

Fiche technique

Format : broché
Pages : 368
Editeur : Orbit
Sortie : 10 juin 2015
Prix : 16,90 €