Interview de Gayle Wilson – VF

Je voulais encore vous remercier d’avoir accepté de répondre à ces quelques questions. Onirik: Vous avez commencé votre carrière en publiant votre premier livre en 1994 et depuis vous avez obtenu un RITA award et un grand nombre des récompenses diverses. Il existe même aujourd’hui un prix portant votre nom.…

Interview de Frank Tallis

Onirik : Pourquoi le citoyen britannique que vous êtes a t-il choisi Vienne comme lieu d’action de ses romans ? Frank Tallis [[docteur en psychologie, spécialiste des troubles obsessionnels et auteur des Carnets de Max Liebermann]] : Pour le décor. Je suis passionné par la ville. De plus je souhaitais…

Interview de Jennifer Rardin – VF

Onirik : Pourquoi avez-vous choisi d’écrire une histoire de vampires ? Êtes-vous attirée par les vampires ? Jennifer Rardin : J’ai toujours été fascinée par les vampires. Qu’est-ce qu’on n’aimerait pas chez eux ? La jeunesse éternelle et la beauté. La méga-force combinée avec la grâce et une rapidité phénoménale.…

Interview de Susan Napier – VF

Si elle écrit en format court, elle prend grand plaisir à parler de son travail, plus difficile qu’on peut le penser. Au passage, elle a raconté dans son message de réponse qu’elle avait passé quelques semaines en France, il y a deux ans, dans le Vaucluse et à Paris, plus précisement, si bien qu’elle a situé chez nous l’action de son dernier roman Public Scandal, Private Mistress l’histoire de Veronica, une Néo-zélandaise qui a une relation passionnée avec un étranger à Paris, et voyage dans le sud de la France pour découvrir qu’il est le beau-fils de l’employeur de sa soeur. Beaucoup de complications et de malentendus s’ensuivent, mais cela se termine bien, évidemment…

Susan Napier précise qu’elle s’est beaucoup amusée à écrire cette histoire, se référant à ses propres souvenirs et anecdotes. Ainsi, le fait que l’héroïne parlent très mal français fait partie de l’intrigue, l’auteur ayant écrit la perception du pays et de ses habitants du point de vue d’une visiteur néo-zélandais, accompagnée de toutes les erreurs qui peuvent être perçues par les lecteurs…

Enfin, elle m’a promis qu’elle écrira l’histoire des deux derniers Marlow, Steve et Charlie, qui avaient déjà beaucoup de problèmes dans le très réussi Beauté du diamant brut en 1985…

Interview de David Lapetina

Onirik : Ton livre est présenté à la fois comme roman policier et d’héroïc-fantasy, je dirais que c’est en fait une sorte de conte philosophique qui fait la satire de nos mœurs et du pouvoir, dénonce la corruption, le racisme et les préjugés et incite à la réflexion. Est-ce aussi…

Interview de Susan Napier – VO

Si elle écrit en format court, elle prend grand plaisir à parler de son travail, plus difficile qu’on peut le penser. Au passage, elle a raconté dans son message de réponse qu’elle avait passé quelques semaines en France, il y a deux ans, dans le Vaucluse et à Paris, plus précisément, si bien qu’elle a situé chez nous l’action de son dernier roman Public Scandal, Private Mistress l’histoire de Veronica, une néo-zélandaise qui a une relation passionnée avec un étranger à Paris, et voyage dans le sud de la France pour découvrir qu’il est le beau-fils de l’employeur de sa soeur. Beaucoup de complications et de malentendus s’ensuivent, mais cela se termine bien, évidemment…

Susan Napier précise qu’elle s’est beaucoup amusée à écrire cette histoire, se référant à ses propres souvenirs et anecdotes. Ainsi, le fait que l’héroïne parlent très mal français fait partie de l’intrigue, l’auteur ayant écrit la perception du pays et de ses habitants du point de vue d’une visiteur néo-zélandais, accompagnée de toutes les erreurs qui peuvent être perçues par les lecteurs… Enfin, elle m’a promis qu’elle écrira l’histoire des deux derniers Marlow, Steve et Charlie, qui avaient déjà beaucoup de problèmes dans le très réussi Beauté du diamant brut en 1985…