D17 – The Last patrol



9,5 sur l’échelle de Richter.

400 secondes qui ont bouleversé le monde à jamais.

Notre vieille Californie avait disparu.

La nouvelle affectation du capitaine Nick Preston se trouve être Fort Edenberg en Californie. Son arrivée coïncide avec un spectaculaire tremblement de terre : « The Big One ».

Les trois survivants découvrent peu à peu que la Californie est devenue une île, que des personnes sont contaminées par un mal étrange (note pour plus tard : essayer de comprendre comment un cataclysme géologique a pu engendrer une épidémie biologique) et que la situation n’a pas arrangé l’équilibre mental des Californiens.

Ainsi ils sont rejoints par un original qui affirme être à la fois un Indien, un docteur et un grand cuisinier. Visiblement il n’est pas indien, médicalement il n’est pas médecin, quant à la cuisine il vaut mieux ne pas en parler.

Ce film d’action est inclassable. Soit il s’agit d’un nanar issu de l’incompétence, soit les auteurs ont décidé de faire de l’humour en accentuant délibérément l’absurdité. Le réalisateur nous avait pourtant habitué à de bons films d’action comme Double impact et Full contact.

Or le scénario est l’œuvre des dénommés Stephen Brackley & Pamela K. Long qui n’avaient rien écrit avant et peu de choses après. Ceci explique sans doute cela.