A la télé, cette semaine

– Le 5 juillet 2008
TF1 – Lost
La saison 4 arrive enfin sur les chaines françaises alors que la saison 5 est en cours de production.(…)

– Le 4 juillet 2008
Canal + – Le monde de Narnia : chapitre 1
Alors que le chapitre 2 est sur le point de sortir, Canal + propose le premier opus qui restranscrit parfaitement l’oeuvre de CS Lewis. (…)

– Le 4 juillet 2008
Ciné Cinéma Famiz – Jeux interdits
Hormis le fait que tous ceux qui ont appris à jouer de la guitare connaissent la musique de ce film par coeur, Jeux Interdits est une leçon pleine de lumière et de poésie sur l’enfance bouleversée et bouleversante, perdue dans la violence traumatisante des conséquences des bombardements. (…)

– Le 3 juillet 2008
M6 – La famille indienne
Rahul, fils aîné d’une riche famille indienne, revient au pays après avoir suivi des études en Angleterre. Enfant adopté, il a toujours vécu dans le respect des traditions. Pourtant, sa rencontre avec Anjali, une jeune femme pleine de fantaisie (…)

– Le 2 juillet 2008
Cine Cinema premier – Walk the line
Cette très jolie histoire d’amour est également la biographie de l’un des chanteurs américains le plus connu, ce qui lui donne une perspective d’autant plus touchante. Johnny Cash a trimbalé son mal être jusqu’au jour où la femme de sa vie June Carter accepta son amour (…)

– Le 2 juillet 2008
Canal + Cinema – Shaun of the dead
Lorsque l’humour britannique s’accouple avec l’absurde… britannique cela donne une petite pépite des plus réjouissante. (…)

– Le 2 juillet 2008
RTL9 – Midnight express
Insoutenable par moments, retraçant une histoire véridique, et mis en scène par un des plus grands réalisateurs des années 80, Midnight express fut reçu comme coup de poing lors de sa sortie. (…)

– Le 1er juillet 2008
TCM – Les pièges de la passion
Le titre en version originale, Love me or leave me fait référence à un des plus célèbres standards de jazz des années 40 et constituera le numéro le plus touchant de Doris Day. (…)

– Le 30 juin 2008
Ciné Cinéma Emotion – Madame Henderson présente
Certes, Stephen Frears nous a habitué à bien mieux, même si le ton caustique est présent du début jusqu’à la fin de cette chronique londonienne sur fond de blitz en ce début des années 40, l’aspect hollywoodien gâche un peu les bons moments. (…)