Découvrir, comprendre, se souvenir. À l’occasion des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale en ce mois de mai 2025, Bayard Jeunesse se mobilise pour transmettre le devoir de mémoire aux plus jeunes. Dans les kiosques en mai Sur la plateforme BayaM dès le 7 mai En…
Paris Première – La Grande évasion
Vendredi 18 avril 2025 à 22H50
La Bête est morte ! à la BnF
Plus de 2 400 personnes ont répondu à l’appel au don lancé par la Bibliothèque nationale de France pour acquérir les 77 planches originales de la bande dessinée La Bête est morte !, fable animalière sur la Seconde Guerre mondiale conçue clandestinement sous l’occupation allemande et illustrée par Calvo. Grâce…
5 Septembre – Avis +
Qu’il connaisse le résultat des affrontements ou non, le spectateur est captivé grâce à un rythme parfait et un découpage bien pensé.
Paris Première – La Bataille des Ardennes
Dimanche 9 février 2025 à 21H00
Pourquoi ? Visages de la Shoah – Avis +
Le pouvoir du témoignage s’exerce ici avec puissance, surtout pour les jeunes générations qui opportunément ne cherchent pas plus d’informations sur le sujet.
Ginette Kolinka sur France Inter
A l’occasion des commémorations des 80 ans de la Libération des camps de concentration, France Inter propose une programmation dédiée sur plusieurs jours avec de nombreux reportages, des témoignages, des invités et une grande soirée animée par Philippe Collin, en public et en direct du Mémorial de la Shoah, pour…
La Disparition de Josef Mengele au théâtre
Toutes les deux ou trois générations, lorsque la mémoire s’étiole et que les derniers témoins des massacres précédents disparaissent, la raison s’éclipse et des hommes reviennent propager le mal. Méfiance, l’homme est une créature malléable, il faut se méfier des hommes. La Disparition de Josef Mengele d’Olivier Guez, Prix Renaudot 2017, est…
Les Tueuses- Avis +
Le travail des autrices met sur un pied d’égalité hommes et femmes, même si on aurait souhaité que ce ne soit pas du point de vue de la barbarie.
Dans un recoin de ce monde : tome 1 – Avis +
Dans un contexte des plus stressants, la maladresse de Suzu constitue le seul élément comique.