Présentation de l’éditeur Ces courts récits invitent au respect de l’environnement, soulignent le courage de l’Homme ou encore insistent sur l’indispensable harmonie avec la nature. Les Amérindiens croient que toute chose est habitée par de puissants esprits. Dans leurs tâches quotidiennes comme dans les coutumes, leur comportement et leurs croyances…
Les contes de Perrault en bandes dessinées – Avis +
Présentation de l’éditeur Charles Perrault (1628-1703) est un écrivain français né à Paris. Dernier d’une famille de 7 enfants, il fait de brillantes études littéraires et exerce de nombreux métiers. Touche-à-tout littéraire, Perrault connaîtra une immortelle popularité en écrivant pour ses enfants un petit recueil intitulé » Contes de ma…
Chansons de Jacques Brel en bandes dessinées – Avis +
Avis de Ragueneau Même s’il est fait appel aux chansons les plus connues, qui entrent plus ou moins facilement dans les thématiques favorites du chanteur : l’enfance, l’humain dans sa dimension sociale voire politique face à l’absurde, l’amitié, les femmes (qui partent ou qui trahissent), on mesure toute la difficulté…
Persépolis, tome 1 : de la bande dessinée au film d’animation
Persépolis est une série terminée de quatre bandes dessinées parues entre 2000 et 2003 à lire dans l’ordre. Persépolis Monovolume : intégrale – regroupant les 4 tomes est paru en mai 2007 au prix de 30,40 € chez le même éditeur dans la même collection. Le film adapté de cette…
300 : De la BD au film – Avis +
Le pitch de la bande dessinée et donc du film est basé sur un fait d’armes célèbre de la Grèce Antique : la bataille des Thermopyles (480 avant Jésus-Christ) qui opposa l’armée Grecque à l’empire achéménide. L’abnégation des quelque 1000 soldats a été reprise dans de nombreux contes populaires.
Mysticisme et religion s’emparent une fois de plus de la bande dessinée.
« Le Rêve de Jérusalem », tel est le nom de cette nouvelle série. Pas moins de cinq tomes sont annoncés. Le premier, « La Milice sacrée« , nous présente les personnages. Un enfant aux pouvoirs immenses, Hermance Languedolce, dont la mère aurait voulu en faire un nouveau Christ mais qui se perd dans…
Jérusalem d’Afrique – Avis +
Joann Sfar naît le 28 août 1971 à Nice, dans une famille moitié séfarade moitié ashkénaze, où on lui raconte toutes sortes de mythes et d’histoires. Dès qu’il sait par quel bout tenir un crayon, il se met à dessiner. Vers quinze ans, il commence à expédier aux éditeurs un projet de BD par mois, qu’on lui refuse au même rythme. C’est aussi vers cet âge qu’il rencontre ses mentors, Fred, Baudoin et Pierre Dubois (le modèle du Minuscule Mousquetaire). «Ils m’ont mis dans la tête des trucs sains. Tout ce que je fais, c’est pour leur plaire.». Au début des années 80, armé d’une maîtrise de philo mention TB obtenue pour faire plaisir à son père, il entre aux Beaux-Arts à Paris où il suit les cours du département de morphologie et dessine des natures mortes vraiment très mortes, comme les enfants à deux têtes et autres monstres de la collection de Geoffroy Saint-Hilaire, au Museum d’histoire naturelle. Il assiste même à des autopsies avec un copain légiste et dessine toutes sortes de boyaux. Ce qu’il tire finalement de cette expérience, c’est le plaisir de dessiner un être vivant, habillé, qui marche dans la rue. À 23 ans, surprise. Le même mois, Dargaud, Delcourt et l’Association répondent favorablement à ses envois. Depuis, il n’arrête plus. «La BD est quelque chose de compulsif, on doit en faire beaucoup. Et comme disait Charlier, c’est plus facile de mener dix histoires de front qu’une seule.» D’où un foisonnement d’univers dont la cohérence est assurée par un cocktail très personnel de sentiment, d’humour et d’intelligence — sans oublier un charme graphique à tomber par terre.
Prix et récompenses :
1999 : Prix Petit Robert au festival Quai des Bulles de Saint-Malo.
2002 : Prix Jacques Lob à BD Boum (Blois) et Yellow Kid du festival de Lucca (Italie).
2003 : Prix œcuménique de la bande dessinée à Angoulême et prix des Fondateurs pour le 30e anniversaire d’Angoulême.
Dieu n’a pas réponse à tout (mais il est bien entouré) – Avis +
Tonino Benacquista est né en 1961. Après des études de cinéma, il multiplie les expériences qui lui offriront matière à l’écriture de romans comme La Maldonne des sleepings, Trois carrés rouges sur fond blanc ou les morsures de l’aube. Dans la fameuse collection blanche (éd. Gallimard), il est l’auteur de tout à l’ego, le contrat, la boîte noire, quelqu’un d’autre et Malavita. Benacquista écrit aussi pour le théâtre, la bande dessinée et le cinéma : il est le scénariste de deux films de Jacques Audiard, Sur mes lèvres et De battre mon cœur s’est arrêté.
Nicolas Barral est né en 1966. Ancien élève de l’Atelier BD de l’École des beaux-arts d’Angoulême, il collabore au mensuel Fluide glacial et dessine Les ailes de plomb (éd. Delcourt). Avec le scénariste Pierre Veys, il imagine la série Baker Street (éd. Delcourt) et parodie Blake & Mortimer (Menaces sur l’Empire, éd. Dargaud). Nicolas Barral a aussi participé, comme scénariste, à l’ouvrage collectif Vive la politique ! (Éd. Dargaud).
Matière Fantôme, tome bêta.
Reflexion phylosophique autant que bande dessinée, la suite de Matière Fantôme poursuit sa quête sur les origines de l’humanité.
Chansons de Brassens en bandes dessinées – Avis +
Résumé Les éditions petit à petit publient des bandes dessinées d’un gabarit resséré par rapport à l’habituel format BD. Un peu plus petit que la moitié d’un ouvrage normal, l’utilité est bien sûr de se démarquer du reste de la production dessinées, mais aussi d’offrir un cadre plus intimiste aux…