– Ce n’est pas de moi qu’il faut avoir peur.
Le vaisseau spatial Hunter Gratzner s’est écrasé sur une planète inconnue. Onze survivants sortent de leur hibernation artificielle. Or, parmi les rescapés, se trouve Riddick (Vin Diesel), un assassin en cours de transfert.
Surveillé par le mercenaire Johns (Cole Hauser), Riddick accompagne les autres survivants dans l’exploration de la planète désertique. Ils découvrent une base scientifique abandonnée. Sur place, la navigatrice Carolyn Fry (Radha Mitchell) réalise que grâce aux trois soleils de ce système, il ne fait jamais nuit sur cette planète.
Tant mieux, car les humains ne disposent pas d’énergie électrique et des créatures carnivores se dissimulent dans les souterrains. Si elles s’en prennent aux humains, elles ne supportent pas la lumière du jour. Mais alors, comment les scientifiques qui résidaient autrefois sur place ont-ils été massacrés ? Or, il s’avère que cette planète connaît régulièrement… des éclipses.
Alliant science-fiction et terreur, ce premier film de la saga Riddick joue efficacement sur la complexité des personnages. Nombre d’entre eux dissimulent leur nature et parfois, ils représentent un danger supplémentaire.