Les Vacances de Jane – Avis +

Présentation Officielle

Entre une grand-mère sévère et une mère triste, la jeune Victoria Jane Stuart connait une existence morose dans un quartier de Toronto. Jusqu’au jour où elle est invitée à passer les vacances d’été auprès d’un père qu’elle ne connait pas. Prête à le haïr, elle va, au contraire, se mettre à l’aimer et elle entreprendra de réunir ses parents, en déjouant les plans qui avaient provoqué, peu de temps après sa naissance, leur rupture.

Avis de Pauline

Jane habite au si triste 60 rue Gay à Toronto, dans la maison de sa grand-mère. La vie au 60 est monotone et Jane déteste cet endroit, jusqu’au jour où elle a enfin la possibilité de s’en échapper : son père, inconnu, demande à la prendre pour les vacances.

Mais la jeune fille hésite : elle ne le connaît pas. Alors qu’elle s’attend à le détester, c’est l’exact contraire et Jane va enfin savoir ce que c’est que de s’amuser grâce à l’île du Prince Edouard.

Par cet ouvrage, l’auteur nous démontre qu’il est possible de s’adapter partout, il suffit d’y mettre du sien. Et Victoria Jane, de Toronto, va prouver qu’elle n’est pas si maladroite, pas si retranchée, jusqu’à faire apparaître la vraie Jane, celle qui fait partie d’une communauté et qui montre qu’elle est capable de tout. Notamment de tenir tête à son autoritaire et parfois injuste grand-mère.

Ce roman jeunesse est un vent de fraîcheur dans la littérature. Il aborde avec simplicité les thèmes de la famille, de l’amitié, de l’amour, du travail bien fait tout en impliquant le lecteur par une sincérité et une douceur dans les mots choisis.

Il est impossible de ne pas aimer Jane tant son caractère est agréable et tant elle se montre disponible pour chacun. Un roman agréable, au final, pour les plus jeunes comme pour les moins jeunes, qu’il fait bon d’avoir lu !

Fiche Technique

Format : poche
Pages : 315
Editeur : J’ai lu
Sorte : 4 janvier 1999
Prix : épuisé

Les vacances de Jane – Avis +

Présentation

Prémonition ? Peut-être.
Jane est tombée sous le charme d’une photo découpée dans le Saturday Evening. Un inconnu au doux sourire que la fillette regarde en cachette… Que n’a-t-elle pas fait là ? Sa mère, aussi fuyante que mondaine, est à son tour frappée de stupeur devant le mystérieux portrait de Kenneth Howard. Et sa grand-mère le déchire avant de le brûler ! Pourquoi tant de hargne chez l’une et une telle tristesse chez l’autre ? Lorsque, six mois plus tard, elle est invitée par son père dans l’île du Prince-Édouard, Jane comprend.
Son père, cet étranger dont on ne lui a jamais parlé, dont on a toujours nié l’existence, a le visage séduisant de Kenneth. Jane est bouleversée. Quel drame secret a bien pu séparer ses parents ?

Avis de Pauline

Jane habite au si triste 60 rue Gay à Toronto, dans la maison de sa Grand-Mère. La vie au 60 est monotone et Jane déteste cet endroit, jusqu’au jour ou elle a enfin la possibilité de s’en échapper : son père, inconnu, demande à la prendre pour les vacances. Mais la jeune fille hésite : elle ne le connaît pas. Alors qu’elle s’attend à le détester, c’est l’exact contraire et Jane va enfin savoir ce que c’est que de s’amuser grâce à l’île du Prince Edouard.

Par cet ouvrage, l’auteur nous démontre qu’il est possible de s’adapter partout, il suffit d’y mettre du sien. Et Jane Victoria, de Toronto, va prouver qu’elle n’est pas si maladroite, pas si retranchée, jusqu’à faire apparaître la vraie Jane, celle qui fait partie d’une communauté et qui montre qu’elle est capable de tout. Notamment de tenir tête à son autoritaire et parfois injuste grand-mère.

Ce roman jeunesse est un vent de fraîcheur dans la littérature. Il aborde avec simplicité les thèmes de la famille, de l’amitié, de l’amour, du travail bien fait tout en impliquant le lecteur par une sincérité et une douceur dans les mots choisis. Il est impossible de ne pas aimer Jane tant son caractère est agréable et tant elle se montre disponible pour chacun. Un roman agréable, au final, pour les plus jeunes comme pour les moins jeunes, qu’il fait bon d’avoir lu !

Fiche Technique

Format : poche
Pages : 314
Éditeur : J’ai Lu
Sortie : janvier 1999