Voici une des franchises de Star Trek qui n’a sûrement pas eu le succès qu’elle méritait mais qui se laisse voir et revoir. Comme à chaque fois, Star Trek innove car les producteurs confient le rôle principal d’une série de SF à une femme.
Dans ce rôle, Kate Mulgrew (la femme de Columbo !) a rempli très honorablement ses fonctions en alliant une autorité digne d’un capitaine avec des critères plus féminins.
Autour d’elle, des acteurs qui, pour la plupart, ne réussirent pas à briller réellement. Seul Robert Picardo dans le rôle du docteur holographique a fait des étincelles. A noter, la plastique sans faille de Jeri Ryan l’a fait remarquer et on l’a par la suite retrouvée dans de nombreuses autres séries.
En expédition sur une planète, un vaisseau entre malgré lui dans un wormhole qui l’éjecte dans le quadrant gamma. Il est impossible à l’équipage de reprendre le même chemin pour rentrer sur Terre et ils sont condamnés à passer leur vie à tenter de revenir à leur base (joignable à vitesse maximum au bout de 75 ans…)
Sans médecin à bord, le commandement déclenche un programme qui permet à un hologramme de servir comme docteur et apparaître au sein de ses quartiers en 3 dimensions.