Le couple mythique des années 80 – Olivia Newton-John et John Travolta – est bien sûr peu crédible ici, mais quelle importance puisque cette bluette est transcendée par les morceaux musicaux, mais surtout par la chorégraphie.
Avec La fièvre du samedi soir, Travolta gagne à la fois ses galons de danseur et d’acteur, même s’il n’est pas le meilleur comédien jamais vu (loin de là !).
L’action se déroule dans les années 50/60, avec une jeune fille de bonne famille et un loulou gominé qui se sont aimés en vacances et se retrouvent par hasard dans le même lycée. Sandy Olsson y voit un signe du destin, tandis que Danny Zucko lui voit sa réputation de dragueur baisser d’un cran – la jeune vierge effarouchée faisant douter de sa capacité à conclure – ce qui l’oblige a prendre une attitude de goujat.
Pour clôturer l’année scolaire, une émission de télévision compte venir filmer le bal de promo où un concours de danse est organisé…