La cellulite, c’est comme la mafia, ça n’existe pas – Avis –

Présentation de l’éditeur

Pulsatilla est aux filles d’aujourd’hui ce que le Nutella est au goûter ! Son journal n’est pas seulement l’autobiographie espiègle d’une Italienne de vingt ans, c’est un guide pratique et drôle pour aborder les dilemmes les plus complexes de la vie : anorexie ou boulimie, régimes ou gastronomie locale, télé ou séances de chat, sexe ou amour…

Et parmi d’irrésistibles morceaux de bravoure, on retiendra ses théories sur la campagne, la culotte, l’hydratation, les règles, la cellulite, la consommation, la pub…

Avis de GaelleB

La cellulite c’est comme la mafia ça n’existe pas a un titre et speech prometteur mais lasse de la vulgarité de l’auteur, on a beaucoup de mal à terminer le livre. Certes, on apprends que ce roman est la transcription d’un blog, où souvent le style est familier, mais tous les bloggeurs utilisent-ils un vocabulaire ordurier ? Faisant parti de ce qu’on appelle « la blogosphère », je peux vous assurer que non.

Ce livre, par ailleurs, intégré au phénomène chick-lit, se veut en être son évolution… Nous sommes bien loin de la qualité de Bridget Jones qui fut le roman pionnier du genre. De fait, l’avenir de la chick-lit paraît bien sombre…

Biographie de l’auteur

Valeria Di Napoli, est née en 1981 à Foggia, capitale des Pouilles. Sous le pseudonyme de Pulsatilla – en hommage à la plante qu’un homéopathe lui prescrit contre ses accès de méchanceté -, elle raconte sa vie sur un blog qui remporte un succès fulgurant. Remarquée par un éditeur, elle publie son  » bioroman  » en 2008, qui devient un best-seller en Italie : La cellulite, c’est comme la mafia, ça n’existe pas (Au Diable Vauvert).

Fiche Technique

Format : poche
Pages : 247
Editeur : Pocket
Sortie : 18 juin 2009
Collection : Pocket
Prix : 6,50 €