Amityville – La Maison du Diable

Le film est inspiré du best-seller éponyme du journaliste américain Jay Anson vendus à 7 millions d’exemplaires. Amityville – La Maison du Diable bénéficie d’ailleurs du slogan du bouquin – que je n’ai pas lu donc aucun commentaire : Amityville est une histoire vraie. À vous de juger. Je ne suis pas à même de vous dire si vous devez ou non croire au fantômes, poltergeists et autres damnations.

Globalement, je me suis ennuyée car le film a vieilli – sachant que je ne connais pas la version 2004. En 1979, j’avais deux ans. Donc très loin de l’hystérie entourant l’histoire de cette maison maudite. Que dira-t-on du Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, des Choristes ou de Ring dans un quart de siècle ? Impossible à dire. Aujourd’hui, avec quelques milliers de films à mon actif, j’en ai forcément vu d’autres.

Alors, j’essaie de me remettre dans le contexte de l’époque. Rien à faire, ça ne passe pas. Cela n’a rien à voir avec l’époque : j’ai adoré La Maison de Diable, première adaptation de La Maison Hantée, livre de Shirley Jackson (oubliez celle de 1998, par pitié !). Le film date de 1963, 16 ans avant Amityville – La Maison du Diable.

NB : La Maison du Diable est signée Robert Wise (West Side Story entre autre). Amityville – La Maison du Diable, elle, n’a pas eu la chance d’être servi par un réalisateur talentueux. Le marketing était né.

avec Margot Kidder, James Brolin, Rod Steiger…