POP(O)STARS

Pour ceux qui ne savent pas, Popstars c’est quoi ? Et bien pas grand chose d’intéressant, si ce n’est une émission de télé-réalité où une p’tite bande de quatre guignols du showbiz, dont deux se faisant certainement déjà pas mal de thune sur le dos de pseudo-artistes (pour ne pas citer Diam’s) et deux autres essayant de faire carrière comme elles le peuvent [[« elles » ? mais non c’est pas ciblé !]], passe son temps à « caster » [[ridiculiser ?]] une autre bande de p’tits jeunes naïfs espérant savoir danser ou chanter [[ce qui n’est pas gagné]] et à qui on fait miroiter gloire et célébrité, en leur donnant l’exemple à ne pas suivre [[encore « elles » ?]].

Qu’ont donné les saisons précédentes ? Et bien pas grand chose, forcement!

– Les L5, un groupe de cinq filles parait il … et n’ayant aucun rapport avec L World. Dommage !

– Les WhatFor, qui ont bien failli s’appeler les Quadricolor, en référence à leurs origines différentes, idée du célèbre intellectuel Bruno Vandelli qui nous aura bien fait marrer par son esprit (Séquence culte) tout au long de cette saison.

– Et les LinkUp… qui engendreront M. Pokora… sans commentaire !

En bref, que de grands groupes que tout le monde, sans exception, connaît et qui remplissent tous les plus grandes salles de concert des fêtes dignes de ce nom… (mort de rire). En prime la saison 2 nous révélera Chimene Badi que nous subissons encore aujourd’hui. Comme quoi, c’est pas parce qu’ils perdent qu’on en ait débarrassé.

Coté jury, pour la touche masculine, on découvrira Sébastien Farran, manager de Joey Starr, NTM et de TT et Benjamin Chulvanij, producteur, patron de maison de disque. Quelle maison de disque on n’en sait rien, le site de Popstars ne le dit pas mais nous apprend quand même qu’il aurait créé en 1996 Hostil Records, un label 100% hip hop [[sûrement hostile pour les oreilles]] qui aurait produit, entre autres, Diam’s et Rohff (et oui ! les pseudo-artistes). Pour la touche féminine on retrouvera Mia Frye [[Ah ! l’une d' »elles »]], chorégraphe qui a permis à des milliers d’épileptiques et de parkinsoniens d’espérer pouvoir faire carrière dans la chorégraphie et qui, comme Bruno Vandelli, nous fera certainement rire par sa bêtise qu’elle exhibait déjà lors de la première saison avec ses belles expressions en anglais please (« Vous n’avez le « lévheul pour Popstars, I’m sorry !« ), en tout cas, si ça ne finit pas par nous gonfler, ça rendra « Happy Face« . Et pour finir coté estrogènes Ophélie Winter l’autre « elles », l’auteur, compositeur, interprète [[enfin soi-disant]] liftée sera de la partie. Pour la petite anecdote, la blonde de service de la saison 4 avait déjà en partie participé à la saison 1 avec son frère, le grand Michael Winter [[que personne ne connaît]] soi-disant aussi auteur, compositeur, interprète, en écrivant une chanson pour ce qui allait devenir pour pas longtemps les L5. Chanson qui fut totalement réécrite par le jury de l’époque tellement ils l’avaient trouvée à chier.

M6 tente de se la jouer TF1 en nous réchauffant une belle cochonnerie [[pour ne pas dire grosse M…]] bien moisie qui pourtant ne faisait déjà plus recette. Espérons que cette saison connaisse autant de succès que la précédente pour avoir une chance de ne plus revoir ça sur nos petits écrans et pour ce qui est de l’avenir d’Ophélie Winter, on le connaît déjà…