Tout en finesse et en délicatesse, par petites touches, Gilles Paris nous fait traverser les années et les continents en compagnie de Belle avant Belle, en constante quête d’identité, et nous la rend accessible derrière ses multiples masques.
Les Arcanes de brume – Avis +/-
Fanny Caldin a un vrai talent d’écrivain. Elle instille de nombreux éléments historiques dans son texte et le contexte qui environne nos personnages est minutieux et documenté.
Combattre pour être soi – Avis +
Éditeur : Rageot de Clarisse Agbégnénou et Sophie Nanteuil Présentation de l’éditeur Judokate mondialement connue, Clarisse Agbégnénou nous raconte ici sa jeunesse jusqu’à son premier titre mondial, à 21 ans. De sa naissance à son entrée au club d’Asnières à 9 ans, nous la suivons au sein de sa famille.…
La Croisière – Avis +
Mais, dans cette croisière, c’est le lecteur qui se fait habilement mener en bateau ! Même si on peut pressentir certaines révélations, Catherine Cooper en a encore quelques-unes en réserve, jusqu’à la dernière page.
The Foxglove King – Avis +
Le talent de Hannah Whitten est d’arriver à créer un univers immergeant et fait de nuances en peu de lignes, et d’offrir des héros empreints de leurs contradictions, les rendant particulièrement humains.
Le Marchand de mort – Avis +
C’est toujours un grand plaisir de lecture !
La Régulation – Avis +
Après l’explication finale, qui ouvre de nouvelles interrogations, il reste surtout une question : Gaëlle Perrin-Guillet a-t-elle prévu une suite ? Elle serait réellement bienvenue.
Je t’aime papa – Avis +
cet album est à la fois superbe et ludique
Marcel Pagnol, autant en emporte la gloire – Avis +
Editeur : Privat roman de Jean-Jacques Jelot-Blanc Présentation de l’éditeur Derrière l’auteur de La Trilogie marseillaise, de La Femme du boulanger, de La Fille du puisatier et de ses enchanteurs souvenirs d’enfance tels La Gloire de mon père et Le Château de ma mère se cache l’une des figures parmi…
La Liberté ou la mort – Avis +
Éditeur : Robert Laffont de Arsène Sabanieev et Éric Dussart Je n’ai pas gardé longtemps mon pseudonyme de guerre, Le Français, qui n’était pas très flatteur sur le front, malgré la livraison des canons Caesar. Ayant grandi en France, il devient médecin-anesthésiste-réanimateur à Lille. Faisant régulièrement des séjours en Ukraine,…