– J’attaque en haut, toi par le bas.
– J’ai des ailes, pourquoi j’irai en bas ?
Suite aux événements survenus dans Avengers Civil War (entre autres la destruction d’un aéroport allemand), Scott Lang (Paul Rudd), alias Ant-Man a été assigné à résidence.
Considérés comme ses complices le Dr Henry Pym (Michael Douglas), alias le premier Ant-Man et sa fille Hope van Dyne (Evangeline Lilly) sont traqués par les autorités.
Néanmoins, Scott dispose d’un moyen de les contacter. Il les informe d’un étrange rêve. Henry Pym comprend qu’il s’agit d’un contact mental effectué par Janet van Dyne (Michelle Pfeiffer) la mère de Hope. La compagne de Pym avait autrefois disparu dans un univers subatomique.
Pour la retrouver Pym a construit un tunnel quantique pour retourner dans l’univers subatomique. Mais, clandestinité oblige, il doit se procurer ses composants auprès du trafiquant de technologie Sonny Burch (Walton Goggins). Mais celui-ci cherche à s’emparer des particules Pym permettant de rétrécir ou d’agrandir les personnes et les objets.
Ses sbires sont combattus par Scott et Hope (cette dernière ayant revêtu le costume de la Guêpe similaire à celui de sa mère). Mais un nouvel intervenant fait son apparition. Il s’agit… d’un fantôme. Cette femme (Hannah John-Kamen) capable de se dématérialiser a ses propres objectifs.
Ce film de super-héros est bâti comme un thriller avec de nombreux combats et course-poursuites. Ant-Man et la Guêpe utilisent au mieux les particules Pym pour combattre. Les agrandissements et rapetissement perturbant les tactiques de leurs adversaires dans un affrontement non-dénué d’humour.