Au mois d’avril, TCM nous programme dans ses “incontournables”, un spécial films noirs avec certains films vus et revus, comme Règlements de comptes ou aussi L’invraisemblable vérité de Fritz Lang, Hantise de George Cukor, nous aurons également le plaisir de découvrir des raretés comme Le mystère des bayous de Joseph H. Lewis, Jalousie de Irving Rapper ou encore Grand central murder de S. Sylvan Simon. Faites attention aux horaires tardifs, certains films ne repassent pas ! (Ce qui est dommage, c’est que ce sont souvent les inédits).
Attardons-nous plutôt au : spécial familles de stars, proposé les quatre jeudis du mois d’avril, pas spécialement pour les films qui sont programmés (loin d’être les meilleurs et certains déjà passés le mois précédent !) mais pour les documentaires qui sont très souvent de très bonne qualité…
Dans la famille Huston, Angelica, la fille nous parle, le 5 avril, du cinéma de son père. Suit le film dont elle est la vedette, Les sorcières (1990) qui est loin d’être un chef d’œuvre, puis à 22H20 c’est Le piège réalisé par son père qui s’essayait au film d’espionnage. Même la présence de Paul Newman ne peut empêcher de l’ennui… œuvre mineure !
S’agissant des Douglas, voici une soirée nettement plus alléchante : d’abord Michael parle lui aussi de sa famille, mais suit également un chef d’œuvre Spartacus où Kirk Douglas fait une composition saisissante. A 23H55, c’est au tour de Michael de montrer son talent dans un polar de jeunesse, Morts suspectes, du cinéma solide d’après le non moins bon roman de Robin Cook. (oui je sais il est passé sur la même chaîne il y a deux mois…)
Seule surprise inédite, l’interview de Peter Fonda, proposé le jeudi 19 avril, avec un film rare L’or de la vie, dont il est l’interprète, suivi du trop programmé Faux coupable d’Hitchcock… Dommage, il y a tant de chefs d’œuvres avec Henry Fonda !
Enfin, pas de documentaire dans cette soirée du 26 avril, mais deux films dédiés aux Sutherland, le premier interprété par Kiefer, Génération perdue, et le second à 22H25, le cultissime Alex in Wonderland (1970) où la nostalgie d’une certaine époque perdure…