Les Ennemis de nos rituels repas

En France, le repas constitue un héritage culturel, il est d’ailleurs classé depuis 2010, patrimoine culturel immatériel de l’humanité (UNESCO, 2010). Certaines spécificités nationales existent, notamment concernant :

– Le nombre de repas : 3 à 4 par jour
– L’heure des repas : déjeuner à 13h
– La structure des repas : entrée/plat/dessert
– Le temps dévolu aux repas : les Français passent en moyenne 2h13 par jour à manger et à boire, soit 40 minutes de plus que la moyenne des pays de l’OCDE et plus de deux fois plus que les Américains (OCDE, 2016).

Cependant, certains modes de vie ne permettent pas de suivre ce rythme. Le travail dont le travail en horaires décalés, l’évolution du télétravail, les déplacements professionnels, etc., fait partie des perturbateurs de nos rituels du repas.

Le travail peut effectivement influer sur la fréquence, l’heure de prise, la structuration et le temps consacré au repas. Or, 44% des Français travaillent en horaires “atypiques”, c’est-à-dire différents des horaires de travail standards en semaine, tels qu’en soirée, la nuit, le samedi ou le dimanche (SSTRN, 2018).

Quelles sont les conséquences du travail sur les rituels des repas ou comment s’approprier ses repas en fonction de son rythme de travail ?

Il suffit de lire la fiche sur le site Manger mieux Président, présente comme de nombreuses toutes intéressantes !