Solitudes australes – Avis +

Présentation de l’éditeur

À l’ouest de l’île de Chiloé, au Chili, David Lefèvre se retire seul dans une cabane, entre lac et forêt. Son projet : vivre une existence frugale proche de l’autosubsistance et tisser avec le milieu naturel un lien de respect et de connivence. Au fil des mois et des saisons, la vie s’ancre dans ce lieu isolé.

L’auteur décrit ses travaux quotidiens, ses escapades au c ur de la nature sauvage qui l’entoure et les réflexions qu’elle lui inspire. C’est aussi l’occasion pour David Lefèvre de s’interroger sur sa solitude, ses racines, son rapport au monde, la signification de l’engagement, le concept de pauvreté volontaire ou encore le besoin d’errance qui l’a poussé à parcourir le monde.

Ce voyage immobile est autant un récit sensible tourné vers le dehors qu’une plongée intérieure.

Avis d’Emilie

Il s’agit d’un très beau texte, un peu initiatique. L’auteur y évoque des pensées très personnelles, des réflexions sur la société, sur la vie en général.

On y découvre des paysages si ben décris qu’ils nous font voyager et rêver à travers les mots. Toutefois, certains passages souffrent de longueurs, comme c’est souvent le cas lors de récits très personnels.

On apprécie les photos centrales qui permettent de s’identifier au voyageur narrateur.

Fiche technique

Format : broché
Pages : 177
Editeur : Transboréal
Sortie : 4 octobre 2012
Prix : 18 €