Rencontre avec Alex Aster

A l’occasion de la nouvelle formule du Salon du livre de Paris 2023, les éditions Lumen nous avaient invités à rencontrer l’incroyable autrice Alex Aster. Pour l’occasion, ils ont tourné un reel !

L’idée était d’assister au live qu’elle donnait alors dans les locaux de l’éditeur, puis d’avoir un petit moment en tête-à-tête avec elle. Tout d’abord, si vous n’avez pas encore lu son roman paru chez Lumen, voici notre avis :

On l’avoue, Alex Aster a une apparence juvénile (elle n’a même pas trente ans !) et elle sourit en permanence. Elle nous est éminemment sympathique, simplement en arrivant dans une pièce. Vous constaterez qu’on ne peut pas faire de mauvaises photos d’elle, elle est rayonnante. De plus, elle semble accorder à chacun une vraie attention, pas télécommandée ni forcée. Parmi les invités, toutes les catégories de lecteurs étaient représentées et tous ont apprécié le voyage que proposait l’Américaine !

Tout d’abord, nous voulions savoir qui était son préféré entre les deux principaux mâles (Grim et Oro) de son roman, question capitale, car elle termine son premier tome avec un cliffhanger de folie et que la moindre direction nous aurait permis de respirer ! Elle a eu l’intelligence de nous répondre, mais sous le sceau du secret ! On ne dira donc rien… mais nous on sait !

Ensuite, son écriture étant particulièrement cinématographique, il nous est venu à l’esprit que c’était voulu de sa part. D’ailleurs, on a appris que son livre allait être adapté en série, ce qui promet quelque chose d’addictif… Elle n’a encore aucune idée de qui sera choisi pour interpréter ses personnages. Dommage !

Sa manière de couper ses chapitres, de nous pousser (même malgré nous) à lire le suivant, à ne pas voir arriver de nombreux retournements de situation nous évoquait une certaine Shonda Rhymes (notamment avec sa série Murder). Elle nous a répondue que ça lui faisait plaisir que l’on ait remarqué cela, car c’est exactement ce qu’elle voulait et la comparaison avec la célèbre productrice lui était très flatteur.

Elle nous a également dit qu’elle écrivait depuis toute petite et qu’elle n’hésitait pas à donner des conseils. Elle a dans ses tiroirs de nombreux textes, qui devraient peut-être être retravaillés, mais pourraient être publiés. Ella a confirmé qu’elle appréciait particulièrement l’imaginaire, car on peut faire passer des messages d’une manière plus organique que dans un environnement trop proche du nôtre.

Pour finir, son prochain roman (la suite de Lightlark) devrait être traduit en français pour l’automne. Elle nous a assuré que les fans de Isla, Grim ou Oro auront largement du temps de lecture pour chacun ! Vous dire qu’on est impatient de lire la suite est un euphémisme !