On a volé la Liberté – Avis +/-


– Notre club s’appellera La confrérie de Vidocq.

La statue de la Liberté a disparu ! Quoi ?! Comment peut-on égarer une statue de 46 mètres de haut ? En fait, en cette année 1885, la statue de la Liberté a été démontée en France. Ses pièces ont été placées dans 214 caisses qui ont traversé l’Atlantique. Seulement une fois arrivées en Amérique, il s’est avéré que les caisses ne contenaient que des pierres.

Aussi, les Américains envoient sur place leur policier d’élite Leon Maverick. Il devra coopérer avec le commissaire Planier. Celui-ci dispose d’un atout : sa nièce Eugénie qui possède un talent de détective non-négligeable.

De plus, comme mister Maverick est venu avec son neveu Edgar, le commissaire charge Eugénie de devenir ami avec Edgar, pour qu’il répète tout ce que son oncle fait.

Seulement, voilà, pendant que leurs oncles coopèrent officiellement, tout en ne s’entendant pas vraiment, les plus jeunes décident eux de coopérer pleinement et de se lancer dans l’enquête.

C’est le début d’une exploration du Paris de l’époque. Si les héros sont des enfants, le sujet est des plus sérieux et le commissaire Planier se révèle être un oncle et un policier des plus détestables.

Cette première enquête de La Confrérie de Vidocq se révèle dynamique et s’achève par un ultime clin d’œil, tandis que certains des personnages se révèlent riches en secrets.

Fiche technique

Format : album
Pages : 48
Scénario : Éric Summer
Dessin : Miriam Gambino
Couleurs : Piky G. S. Hamilton & Arancia Studio
Éditeur : Vents d’Ouest
Collection : jeunesse
Sortie : 10 mars 2021
Prix : 13,90 €