– Je suis le général Zod. Je viens d’un monde éloigné du vôtre. J’ai traversé un océan d’étoiles pour atteindre votre planète. Votre monde abrite un de mes concitoyens. Il vous ressemble, mais il n’est pas des vôtres. À ceux qui connaissent son emplacement, le destin de votre planète repose entre vos mains. À Kal-El, je dis ceci : rends-toi dans les vingt-quatre heures, ou regarde ce monde en subir les conséquences.
Le général Zod (Michael Shannon) s’est échappé de la Zone Fantôme dans laquelle il avait été enfermé peu avant la destruction de la planète Krypton. Entouré d’un petit groupe de fidèles, il se rend sur la planète Terre. Un ancien vaisseau de reconnaissance y a émis un signal automatique, signe qu’il vient d’être découvert par un Kryptonien.
Il ne peut s’agir que de Kal-El, le fils de Jor-El (Russel Crowe). Ce dernier a placé dans la fusée qui emmenait son fils en sécurité le « Codex ». Cet artefact constitue une base de données génétiques permettant de créer une nouvelle race de Kryptoniens.
Kal-El a grandi sur Terre sous le nom de Clark Kent (Henry Cavill). Élevé par Jonathan (Kevin Costner) et Martha Kent (Diane Lane), il a lentement appris à maîtriser les super-pouvoirs que lui confèrent le soleil jaune autour duquel tourne son monde d’adoption.
Retrouvé par Lois Lane (Amy Adams), traqué par l’armée américaine et par le général Zod, Kal-El doit affronter des ennemis nombreux et disposant d’une puissance de feu redoutable, pour lui comme pour les Terriens.
Le film de Zack Snyder implique des combats subtils impliquant les super-pouvoirs (les Kryptoniens sont plus nombreux que Superman, mais celui-ci a eu des années pour maîtriser les super-pouvoirs)
L’accent mis sur Krypton et la présentation de sa société eugénique se révèle original et intéressant. Seul problème, le général Zod avait déjà été le principal méchant dans Superman 2 (1980) de Richard Lester. Cependant, ici, sa personnalité se révèle un peu plus élaborée.