– Docteur Grant, nous ne quitterons pas cette île sans notre fils.
– Alors vous pouvez vous mettre à sa recherche… mais de toute façon vous ne sortirez pas vivant de cette île.
Cherchant désespérément à financer ses recherches le paléontologue Alan Grant (Sam Neill) accepte l’offre d’un couple de milliardaire. Ils lui demandent de leur servir de guide lors du survol en avion de l’île interdite d’Isla Sorna où évoluent des dinosaures.
Alan Grant accepte, mais réalise un peu tard que ses employeurs ont décidé d’atterrir. Ses protestations cessent très vite car il se retrouve assommé. Une fois réveillé, il réalise que l’avion s’est bien posé sur l’île et que certains des passagers et membres d’équipage sont des mercenaires. Ces derniers confiants dans leur puissance de feu (trop confiants) sont persuadés de pouvoir éradiquer toute menace.
Alan Grant comprend qu’ils recherchent un enfant disparu sur l’île depuis huit semaines. Mais pourquoi l’ont-ils enlevé lui ? Ils avaient besoin de quelqu’un qui a été sur l’île avant. Objection ! Alan Grant n’a jamais été sur cette île ! Mais si, il a même écrit un livre sur son aventure. Exact, seulement voilà, cela concernait l’île Isla Nublar. Ici, c’est Isla Sorna, le site B. ! Oh, il existe deux îles où évoluent des dinosaures ?
Bon, ce troisième volet de la saga Jurassic Park n’est pas basé sur un roman Crichton, mais sur une idée originale. De qui ? C’est là le problème. Après que les bases ont été posées par cinq scénaristes, un trio de nouveaux scénaristes leur a succédé, sans oublier le réalisateur et les acteurs (ces derniers ayant décidé d’étoffer leur rôle quelque peu inconsistant).
Bref,… ça aurait pu être pire.