Jeunesse éternelle aux Halliennales : Nathalie Charlier

La jeunesse éternelle, en voilà un thème qui inspire hommes comme femmes ! Les grands manitous des Halliennales vous invitent le 6 octobre à vivre dans l’imaginaire éternel de leurs auteurs-invités. Voilà donc un portrait Chtinois pour mieux les connaître, avant d’aller les saluer à Hallènes-Lez-Haubourdin !

Onirik : Si vous étiez un végétal ?

Nathalie Charlier : Un chêne, c’est solide.

Onirik : Si vous étiez un minéral ?

Nathalie Charlier : La pierre de lune, souvent associée à la femme.

Onirik : Si vous étiez une éternité, laquelle ?

Nathalie Charlier : Le futur. Tout reste à faire.

Onirik : Si vous étiez un être immortel ?

Nathalie Charlier : Un ange.

Onirik : Parmi le bestiaire de l’imaginaire, quel est l’immortel que vous aimeriez croquer (au sens propre et/ou figuré) ?

Nathalie Charlier : Au sens figuré évidemment, je pense que je croqueras volontiers un phénix. Peut-être que cela me permettrait de renaître de mes cendres !

Onirik : Si vous étiez un plaisir que vous souhaiteriez éternel ?

Nathalie Charlier : L’amour et le bonheur qu’un amour partagé apporte.

Onirik : Dans le mot jeunesse, il y a jeûne : y a t-il un aliment, un plat dont vous pourriez vous passer facilement ? Et un dont il n’est pas question qu’on vous en prive ?

Nathalie Charlier : Je peux me passer facilement de viande et je tue le premier qui me prive de pâtes.

Onirik : Au contraire de ce qui est éternel, quelle est votre actualité toute fraîche durant les Halliennales ?

Nathalie Charlier : La sortie en version poche de mon dernier roman publié par les éditions Harlequin Ton arrogance, mon insolence. Et toujours mon roman young adult fantastique « le fantôme de Penvins ».

Onirik : Que pouvez-vous dire aux visiteurs qui iront vous voir sur votre stand, vous voler (ou acheter !) une part d’éternité ?

Nathalie Charlier : M’essayer, c’est m’adopter, ça compte pour moi, mais aussi pour mes romans !