D. Gray-Man, tome 7 : Le Destructeur du temps – Avis +/-

– Allen a perdu son bras gauche. Il ne fait donc plus partie des exorcistes.

La quête des Exorcistes pour retrouver le maréchal Cross s’avère périlleuse. Allen Walker, grièvement blessé, a été recueilli par la branche asiatique de la Congrégation de l’ombre.
Pendant ce temps, les quatre exorcistes rescapés – Lavi, Bookman, Aristar Krory et Lenalee Lee – reçoivent en renfort Miranda Lotto [[rappelez-vous la jeune femme qui était sortie précipitamment de sa ville figée dans le temps en hurlant Ouh, ouh, monsieur le Traqueur de la Congrégation de l’ombre !]] munie de son innocence : un chronodisque fabriqué à partir de son horloge adorée.

Mais le danger est partout. Allen découvre que sortir de son lit sans autorisation peut valoir de l’infirmière un superbe coup de pied (une situation classique dans les mangas, on peut légitimement s’inquiéter pour les patients des hôpitaux japonais). Heureusement pour Allen elle s’est trompée de cible.

Parallèlement, les exorcistes pour l’instant indemnes poursuivent leur route pour le Japon. Leur navire a été réparé grâce au chronodisque de Miranda, qui a placé le navire et ses occupants dans une bulle de stase temporelle. Les dommages à l’embarcation comme à son équipage seront automatiquement réparés du moins jusqu’à ce ce que Miranda succombe au sommeil. Ensuite le navire coulera et les blessures mortelles feront leur oeuvre. Les cinq jours de voyage en mer débutent par une attaque massive d’Akumas, d’où une réaction rapide du capitaine :

– Que tous les hommes indemnes se rendent aux machines ! Moteurs à pleine puissance ! Que ceux qui se savent condamnés se rendent sur le pont pour aider à tenir le cap ! !

Fiche Technique

Traduction : Sébastien Bigini & Thomas Lameth
Adaptation graphique & lettrage : GB One
Editeur : Glénat
Collection : Shônen
Sortie : novembre 2007
Prix : 6,50 €
Inédit, poche, noir & blanc, sens de lecture japonais, 208 pages