Clockwerx : tome 1 – Avis +

– L’énergie contrôle le monde, mes amis, libre à nous de le façonner comme bon nous semblera.

Londres 1897, la fière capitale de l’Empire britannique est parfaitement reconnaissable grâce à ses monuments : Big Ben, Westminster, Tower Bridge, sans oublier sa pyramide. Dans cette ère victorienne steampunk les dirigeants de la Golden Shell oeuvrent dans l’ombre pour prendre possession d’un mystérieux minerai dénommé Luciferum provenant d’une météorite et générant une importante énergie.

Mais deux grains de sable se manifestent. Tout d’abord est venu un cri d’alerte « Molly Vane est à Londres« . Cette adversaire qui leur avait dérobé cinq Clocks, est revenue pour les affronter avec ces redoutables robots géants. De plus, Matt Thurow, un ancien de Scottland Yard, sortant de prison où la Golden Shell l’avait envoyé, mène une enquête sur les disparitions dans le secteur des docks.

Bien que le passé des personnages soit encore à découvrir, on perçoit l’individualisme de Matt Thurow comme les capacités de commandement chez Molly Vane. Mais on observe également le goût pour la violence et les explosions chez Tork l’exécutant de la Golden Shell.

L’univers steampunk est parfaitement illustré. On constate l’absence de chevaux, tandis que les moyens de transport sont des voitures à vapeur. De plus il s’agit d’un univers steampunk réaliste reposant sur une nouvelle source d’énergie, le luciférium remplaçant avantageusement le charbon.

Fiche Technique

Scénario : Jason Henderson & Tony Salvaggio
Dessin & Couleurs : Jean-Baptiste Hostache
Traduction : Vincent Gerber
Lettrage : Moscow Eye
Editeur : Humanoïdes Associés
Sortie : novembre 2008
Prix : 12,90 euros
Inédit, grand format, 48 pages couleurs