La veille d’un jour férié, les deux premiers Y a-t-il… sont le dopant idéal pour se mettre dans l’ambiance.
Un humour de bas étage, de nombreuses références à des films passés, du non-sens en permanence et aucun fil directeur si ce n’est tirer du spectateur un rire de surprise, sûrement, mais un rire franc et tonitruant, ou étranglé, si vous mangiez au même instant.
Les deux films sont diffusés l’un à la suite de l’autre.