Quatrième film de David Cronenberg, succès populaire, critique et commercial, nous sommes loin de l’univers de History of violence, mais cette « simpliste » confrontation entre le bien et le mal était déjà une réussite.
Jennifer O’Neil, auréolée de son éphémère gloire gagnée dans Un été 42, est rapidement éclipsée par un méchant hors du commun qui n’a pas eu la carrière qu’il méritait : Michael Ironside.
Beaucoup de tension, d’angoisse et d’allégorie dans ce thriller psychologique ou l’on sent le manque de moyens mais pas d’idées… Tout l’univers « malsain » de Cronenberg est ici présent.
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