Nakata renouvelle son titre de maître de l’épouvante du cinéma asiatique.
L’auteur de THE RING ne change pas de recette : une jolie femme se débat seule dans un univers incrédule contre un vilain fantôme qui poursuit sa famille.
Il semble que dans ses films, l’auteur aime laisser planer le doute entre le paranormal ou la paranoïa de la victime semblant atteinte de visions. Il ne donne qu’une très petite place au paranormal qui est placé en général en fin de film sur le levé de voile du fantôme.
En espérant que les américains réservent « Dark water » un meilleur sort que « The ring » dans leur reprise prévue, pour automne 2005.
Dans tous les cas, je vous conseille de voir l’original avant la reprise.