On ne fait plus partie du futur.
La dernière mission des Expendables a tourné au désastre. Aussi Barney Ross (Sylvester Stallone) décide de se séparer de ses amis Lee Christmas (Jason Statham), Gunnar Jensen (Dolph Lundgren), Toll Road (Randy Couture) et « Doc » (Wesley Snipes). Il ne veut plus voir ses amis mourir. Mais la mission fournie par l’agent de la CIA Max Drummer (Harrison Ford) implique de capturer le trafiquant d’armes Conrad Stonebanks (Mel Gibson). Or il s’agit du cofondateur des Expendables.
Ross constitue une nouvelle équipe plus jeune. Voici John Smilee (Kellan Lutz) pilote de moto et cogneur, Luna (Ronda Rousey) experte en infiltration et en combat rapproché, Mars (Victor Ortiz) le tireur d’élite maîtrisant les armes ultra-modernes et Thorn (Glen Powell) un spécialiste de l’escalade et des ordinateurs. En renfort supplémentaire voici le « jeune » Galgo (Antonio Banderas) qui affirme être né en 1984 (l’acteur qui interprète ce rôle est né en 1960).
Ce troisième volet des Expendables est riche en scènes d’action spectaculaires mais irréalistes. Ainsi les combattants ennemis ne voient aucun inconvénient à donner l’assaut à un bâtiment où se trouvent les Expendables et qui se trouve sous le feu des canons des chars d’assaut de leur propre armée.
De même, l’arrivée surprise de Trench Mauser (Arnold Schwarzenegger) et Yin Yang (Jet Li) constitue un renfort non-négligeable. Problème : les nouvelles recrues ne connaissent pas Yin Yang et se retrouvent soudainement face à un inconnu armé. Comment devraient-ils logiquement réagir ?