Pourim

C’est la plus joyeuse des fêtes du calendrier hébraïque sans doute en raison de la gravité du risque encouru.

Relatée dans le livre d’Esther (ou Meguilah Esther), cette fête fut instituée par Mardochée, l’oncle d’Esther, il y a 23 siècles pour se souvenir de l’évènement.

Le mot Pourim, dans le sens étymologique signigie « tirage au sort ». Il évoque le fait que la date de l’extermination avait été tiré au sort.

Durant la fête de Pourim, on lit l’histoire d’Esther, celle-ci étant écrite sur un rouleau (une meguilah).

Il est d’usage d’offrir des présents comestibles (les michloarh manot) à ses proches ou à ses amis, d’où la profusion de pâtisseries ; de faire un don d’argents au profit des nécessiteux et de parciper à un repas copieux et bien arrosé. Il est fait obligation de se réjouir, de changer et de danser et, pour l’occasion, on peut se déguiser en Esther, Mardochée, ou personnages un peu plus contemporains…

Pourim est également la Fête des Filles.