Death Note : tome 8 – Avis +

– Les humains sont effrayants ; ils ne se servent pas du cahier comme il faut.
– C’est justement ça qui est amusant.

Le monde a changé. L’exécution des criminels par Kira qui dispose du cahier d’un dieu de la mort a réduit les activités criminelles. Mais certains ont compris qu’il existait sur Terre deux Death Note. L’un se trouve aux mains de Kira, l’autre aux mains d’une équipe réduite de la police japonaise (au sein de laquelle se trouve Light alias Kira).

Formé à la même école que « L » les énigmatiques « M » et « N » ont des buts à la fois similaires et différents.

« N » dirige le S.P.K. une unité d’élite au service du gouvernement américain chargée de s’emparer des deux Death Note. Parallèlement au sein de la pègre « M » va s’efforcer de s’emparer d’un des deux Death Note pour éliminer la concurrence.
L’enlèvement du directeur de la police, puis de Saru la soeur de Light, a pour but d’échanger leurs vies contre celle du Death Note. Pendant que Light se demande calmement s’il doit éliminer son père et sa soeur, les différents protagonistes découvrent l’existence d’un nouvel intervenant : un dieu de la Mort interfère dans la lutte pour le Death Note. A la différence de la curiosité chez Ryuk et de la sollicitude de Rem, le Dieu de la mort Shidoh se caractérise par une particularité très répandue dans la population humaine : la stupidité.

Il s’agit d’un renouvellement dans la quête du Death Note : trois personnes à l’intelligence effrayante s’efforcent de s’identifier et de se combattre, tandis qu’un électron libre bouleverse les plans soigneusement établis.

Fiche Technique

Scénario : Tsugumi Ohba
Dessin : Takeshi Obata
Traduction : Myloo Anhmet
Adaptation graphique : Eric Montésinos
Editeur : Kana
Collection : Dark
Sortie : février 2008
Prix : 6,25 €
Inédit, poche, noir & blanc, sens de lecture japonais, 208 pages