Death Note : tome 2 – Avis +/-

Apparemment Dieu semble être de mon côté… et pas seulement le dieu de la mort.

Le policier Soichiro Yagami participe à un repas de famille. Il est en compagnie de sa femme, de sa fille et de son fils. Il y a bien une cinquième personne présente dans la salle, mais il ne le remarque pas (malgré le fait que cet intrus mesure environ 2,50 m de haut et que son visage n’a rien d’humain). Ce repas est l’occasion de révéler à sa famille qu’il est le responsable de la cellule d’enquête sur celui que les médias ont appelé Kira et qui élimine par crise cardiaque les criminels.

Alors que l’enquête piétine. Il doit collaborer avec un agent d’Interpol, l’énigmatique « L » dont personne ne connaît le visage. Certains pensent même que Kira et L ne feraient-ils qu’un. Alors que la criminalité est en baisse suite aux agissements de Kira, les membres de la cellule d’enquête apprennent une nouvelle stupéfiante. Douze agents du FBI venus au Japon pour enquêter secrètement sont morts d’une crise cardiaque. Dès lors les défections se multiplient au sein de la police et la cellule d’enquête se réduit à quelques membres.

Puis vient la révélation. Comme il était probable que Kira bénéficiait d’information au sein de la police les agents du F.B.I. étaient venus au Japon pour enquêter sur les hauts responsables de la police et leur famille. L’un d’eux a du découvrir quelque chose et Kira a du l’éliminer, ainsi que les onze autres pour ne pas attirer la suspicion sur ceux que surveillait sa cible initiale.

Or Yagami apprend que l’un d’eux surveillait sa famille qui est donc suspecte. Et le principal suspect de L est son fils Light Yagami. L l’ignore, mais il a vu juste. Light est le seul à avoir la possibilité de percevoir Ryûk le dieu de la mort et à utiliser son Death Note son livre de la mort pour y inscrire le nom des criminels et de ceux qui le gênent.
Sous le regard de Soichiro Yagami L poursuit sa quête et Kira sa mission d’extermination.

Pendant ce temps Light approche la fiancée d’un agent du FBI qu’il a éliminé. La jeune femme menant une l’enquête parallèle et détenant des informations potentiellement importantes, elle constitue donc une gène. Aussi il oeuvre pour qu’elle lui fasse confiance et lui communique son nom. Or Ryûk le dieu de la mort ricane. Mais de qui ?

Fiche Technique

Traduction : Myloo Anhmet
Adaptation graphique : Eric Montésinos
Editeur : Kana
Collection : Dark
Sortie : février 2007
Prix : 5,95 euros
Inédit, poche, noir & blanc, sens de lecture japonais, 208 pages