Lost in Paradise – Avis +

Dans son acception commune, l’art contemporain représente toutes les formes d’art actuelles. Il tend à inclure l’art depuis les années 60. Il succède à l’art moderne. L’art contemporain est très freudien, dans le sens où il est souvent associé au sexe.

La tendance actuelle de l’art contemporain est passer un message : il devient moins conceptuel et plus représentatif.

Ce n’est pas le cas de Lost in Paradise. L’exposition est conceptuelle dans le sans où les artistes ont pris une position écologique, politique…

SM’ART – L’art contemporain a Aix en Provence

Après Martigues en mai dernier, le Sm’art, Salon méditerranéen d’art contemporain et d’art abstrait poursuit son travail en Provence-Alpes-Côte d’Azur en proposant un nouveau rendez vous à d’Aix-en-Provence au Domaine de Tournon du 9 au 12 juin, au moment même où se tient, dans le cadre de l’année Cézanne l’exposition du Musée Granet.

Lumière et mouvement – Avis +

La figuration a progressivement disparu des sculptures de Madeleine Weber qui déclare :  » Au cours de mon évolution vers une certaine géométrisation, les éléments figuratifs de mes premières sculptures ont donné lieu et place à une autre corporalité, une transfiguration du corps, tension vivante entre la matière et l’esprit, concentrée dans des oeuvres de moindre format. Je crée le relief et la surface sensibles d’une vision intérieure, alliés à la justesse des proportions dans un espace donné.  » Les titres des oeuvres nous donnent des indices évoquant le temps qui passe, l’esprit migrateur ou prisonnier, la place de l’homme dans l’univers : Voyages aléatoires, L’aventure intérieure, La traversée, Espaces intérieurs et solaires..

La culture au féminin

Toutes les femmes sont à l’honneur au sein de l’exposition qui découvre au public les nouvelles collections Printemps/Eté mais aussi d’autres surprises. L’espace Art-Mode est voué à toutes les formes de la culture au féminin. Il se décline par et autour de la femme : mémoires de la Duchesse d’Abrantès,…

Salon Parapsy – notre avis

Plus convivial qu’attendu, la Salon Parapsy mélange plusieurs genres afin de toucher les différentes générations qui peuvent être intéressés par : – les arts divinatoires, – les sciences parallèles, – les médecines naturelles. Nous sommes arrivés à l’accueil Presse pendant qu’un membre de l’association des non-voyants voyants tentait d’obtenir par…

Courbet /Marden, Steichen/Kirili : une confrontation au musée d’Orsay

Pour mettre en évidence combien l’art du XIXe et du début du XXe siècle est une source d’inspiration pour les artistes vivants au XXIe, le Musée d’Orsay propose trois fois par an à deux artistes d’aujourd‚hui, l’un français et l’autre de nationalité étrangère, de présenter une de leur création en relation avec une oeuvre du musée choisie par eux, qui est mise en regard de cette oeuvre.

Chefs d’oeuvre du Musée Fabre de Montpellier

L’exposition offre un remarquable panorama de la peinture européenne du XVIIe au XIXe siècle, et explore les principaux courants artistiques jusqu’à l’impressionnisme. S’ouvrant avec un ensemble de grands maîtres du XVIIe siècle, elle illustre la richesse des écoles française (Bourdon), italienne (Le Bernin), espagnole (Zurbarán), flamande (Bruegel le Jeune, Rubens) et néerlandaise (Steen, Metsu). De la Régence à la Révolution, l’art français du XVIIIe siècle est admirablement représenté par les drapés voluptueux de Ranc, les élégantes sculptures en marbre de Houdon ou encore les délicats portraits d’enfants de Greuze.

John Massey, au Centre Culturel Canadien, Paris

L’artiste conceptuel John Massey, figure majeure de la scène artistique canadienne, s’est fait connaître internationalement avec la vidéo As the Hammer Strikes (1982), dans laquelle on le voit converser avec un auto-stoppeur, dans le cadre étroit d’un camion traversant un paysage rural. De cette oeuvre émanait déjà ce mélange caractéristique d’angoisse et de fantaisie que l’artiste s’attache à faire surgir des situations ou des lieux de la vie quotidienne.

Polychromies Secrètes

Deux oeuvres majeures du musée des Augustins, la Crucifixion du Parlement de Toulouse et Nostre Dame de Grasse, datées de la fin du XVe siècle, ont fait, ces dernières années, l’objet d’une longue restauration dont le musée présente aujourd’hui le résultat. L’exposition est l’occasion de les redécouvrir dans un état proche de leur aspect d’origine, de mieux comprendre le travail méconnu des restaurateurs et d’aborder les questions historiques techniques et artistiques que pose ce type d’oeuvres.