L’animation française commence à dater. Mais, grâce à Kirikou et la sorcière (Michel Ocelot – 1998 – 70 minutes), elle prend un envol mérité (premier rang européen et troisième place mondiale) car elle a son style propre. C’est toujours intéressant de regarder l’approche cinématographique d’une culture.
Autour de Destination finale 3
Jeune étudiante, Wendy pressent sa mort et celle de ses amis dans un parc d’attractions. La Mort, contrariée, s’acharne alors sur ces pauvres jeunes gens.
C’est reparti pour un tour !
Autour de Destination finale 3
Une fois, la surprise sanglante dépassée, l’ésotérisme prend largement le dessus et les deux premiers longs métrages de la saga – le deuxième plus gore que le premier – provoquent émotion est questionnement pour en définitive arriver à la conclusion la plus simple : personne n’échappe à son destin : celui de mourir quand son heure à sonner.