Présentation de l’éditeur
Egypte, 1818
Le palais d’A’Qadiz… En entendant ce nom dans la bouche du consul d’Egypte, Celia retient son souffle, l’esprit soudain assailli par de somptueuses visions de cours intérieurs, de soieries précieuses, de parfums capiteux.
La nouvelle mission de son époux lui permettra, au moins, d’échapper à la vie ennuyeuse où celui-ci la cantonne depuis leur récent mariage. Mais alors qu’ils approchent de la principauté, leur convoi est attaqué par des troupes rebelles. Son mari est tué et Celia ne doit la vie qu’à l’intervention d’un mystérieux cavalier.
Un homme au regard sombre en qui elle découvre qu’il est en réalité le prince d’A’Qadiz en personne. D’abord rassurée, Celia sent sa peur resurgir quand elle entend son hôte donner l’ordre de la conduire au harem. Certes, son statut de veuve la protège, elle le sait, mais pour combien de temps ?
Avis de Karen
Après avoir été lâchement abandonnée par son fiancé pour une femme mieux dotée qu’elle, Cassandra part se réfugier chez sa sœur en Arabie. Elle se plait là bas et refuse de revenir à Londres où sa honte et son humiliation ne sont pas encore oubliées. Elle décide alors de devenir la gouvernante de la fille du prince de Daar-el-Abbah, réputée pour son mauvais caractère.
Mais Cassandra adore les enfants et est persuadée de pouvoir apporter beaucoup à cette petite. Surtout quand elle se rend compte que Linah ne se conduit aussi mal que pour pallier l’absence de son père et le pousser à faire attention à elle et à l’aimer.
Elle ne mâche pas ses mots et le dit sans détour au prince Jamil qui n’a pas l’habitude qu’on le houspille, et encore moins que ce soit une femme. A force de se fréquenter, Cassandra et Jamil en viennent de plus en plus à s’apprécier et ne peuvent ignorer plus longtemps l’intense désir qui les pousse l’un vers l’autre. Mais Jamil est fiancé à une femme choisie par son conseil et il ne peut imposer à son peuple une Occidentale.
C’est une gentille romance sans prétention mais terriblement efficace qui n’a d’autre but que de nous distraire et nous faire passer un bon moment. Et ça marche. Il faut avouer également que ça fait beaucoup de bien de sortir de la romance Régence et de pénétrer dans le désert aux côtés de princes et de bédouins digne des contes des Mille et une nuits.
Fiche Technique
Format : poche
Pages : 320
Editeur : Harlequin
Collection : Les Historiques
Sortie : 1 juin 2013
Prix : 6,60 €