Paris Première – Le casse de Central Park


-Il n’a jamais été question d’un vrai coffre-fort en acier.

-Tu sais qu’on vise 20 millions de dollars. Tu voyais un coffre- fort en bois ?

New-York, Josh Kovaks (Ben Stiller) est le directeur d’un immeuble de luxe qui a pour plus célèbre des locataires le milliardaire Arthur Shaw (Alan Alda). Or, celui-ci est en train d’être enlevé ! Josh se précipite à la rescousse et est aussitôt intercepté par l’agent du FBI Claire Denham (Téa Leoni). Elle lui explique que « l’enlèvement » est en fait une arrestation, car Arthur Shaw a détourné deux milliards de dollars à de petits épargnants.

Or, Kovaks avait confié les pensions des employés de l’immeuble à Shaw afin qu’il les investissent. De ce fait, ils n’ont plus rien.

L’un d’eux tente de se suicider. En se confrontant à Shaw assigné à résidence dans l’immeuble, Kovacs s’énerve et est aussitôt renvoyé.

Dans un bar, il rencontre Denham qui, sous l’emprise de l’alcool, lui révèle que Shaw a caché une réserve de 20 millions de dollars.

La solution est simple (ben voyons) : récupérer cet argent en constituant une équipe d’élite (hum) :

– la femme de chambre Odessa Montero (Gabourey Sidibe) a été serrurière et pourra donc ouvrir le coffre-fort.

– Mister Fitzhugh (Matthew Broderick) un ancien locataire de l’immeuble s’y connaît en milliardaire de Wall Street (il a fait faillite)

– Slide (Eddie Murphy) un ami d’enfance de Kovacs a une grande expérience de la délinquance (du moins, c’est ce qu’il affirme).

Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?

Il s’agit d’un film de casse à l’opposé des classiques. Le ressort principal de l’action repose sur l’amateurisme des cambrioleurs. Ces derniers sont d’autre part motivés par le sens de la justice (enfin presque tous).