Captive du harem – Avis +/-

Présentation de l’éditeur

Egypte, 1818
Le palais d’A’Qadiz… En entendant ce nom dans la bouche du consul d’Egypte, Celia retient son souffle, l’esprit soudain assailli par de somptueuses visions de cours intérieurs, de soieries précieuses, de parfums capiteux. La nouvelle mission de son époux lui permettra, au moins, d’échapper à la vie ennuyeuse où celui-ci la cantonne depuis leur récent mariage.

Mais alors qu’ils approchent de la principauté, leur convoi est attaqué par des troupes rebelles. Son mari est tué et Celia ne doit la vie qu’à l’intervention d’un mystérieux cavalier. Un homme au regard sombre en qui elle découvre qu’il est en réalité le prince d’A’Qadiz en personne.

D’abord rassurée, Celia sent sa peur resurgir quand elle entend son hôte donner l’ordre de la conduire au harem. Certes, son statut de veuve la protège, elle le sait, mais pour combien de temps ?

Avis de Claire

Moyen-Orient, été 1818. Au royaume imaginaire d’A’Qadiz, le prince Ramiz sauve la vie de la jolie rose anglaise, lady Celia. Malgré leurs différences de culture et de moeurs, ces deux êtres ne peuvent s’empêcher de tomber amoureux.

Malgré quelques libertés historiques et inventions fantaisistes, Marguerite Kaye réussit à broder une jolie histoire d’amour, charnelle à souhait, bien écrite sans être révolutionnaire du genre.

Entre autres traits humoristiques, Marguerite Kaye s’autorise même un petit hommage à Oscar Wilde, avec son délicieux aphorisme : « Le seul moyen de se délivrer de la tentation est d’y céder« .

Chaud et sensuel comme le vent brûlant du désert.

Fiche technique

Format : poche

Pages : 309
Editeur : Harlequin

Collection : Les Historiques
Sortie : 1er juin 2013
Prix : 6,75 €