Ciné Cinéma Classic – Les Innocents

C’est l’atmosphère étouffante qui est mémorable dans cette histoire où le fantastique et les sentiments refoulés s’entremêlent de façon malsaine. Cette nouvelle de Henry James a bénéficié de l’adaptation de Truman Capote.

Si l’angoisse se distille tout au long du récit, les sous-entendus psychologiques lui apportent une autre dimension. L’interprétation passionnée et ambigüe de Deborah Kerr y est aussi pour beaucoup.

Considéré comme un des plus grands classiques du film d’épouvante, il laisse longtemps après l’avoir vu, un souvenir trouble de malaise diffus. Impressionnant !