L’épouse du cheikh de Teresa Southwick
Pour éviter à sa sœur jumelle d’avoir à honorer la promesse de mariage faite jadis en son nom à Malik Hourani, prince du lointain royaume de Bha’khar, Beth court le risque inouï de se faire passer pour elle auprès du souverain, juste le temps de le convaincre de renoncer à cette union… Hélas, son stratagème ne tarde pas à se retourner contre elle car bientôt, elle tombe amoureuse du fiancé de sa soeur qui, loin du macho tyrannique que celle-ci lui avait décrit, se révèle un compagnon attentionné, au charme mystérieux… Dès lors, Beth doit faire face à un choix impossible : avouer son mensonge à Malik, et le perdre à jamais, ou ne rien lui révéler et risquer de voir le seul homme qu’elle ait jamais aimé épouser sa jumelle…
Avis de Gaëlle : avis +
Un scénario rocamblesque, des images des contes des milles et une nuit, ce roman avait tout du cliché et pourtant on y croit. L’histoire oscille entre modernisme et tradition ancestrale où deux personnes que rien ne destinait à se rencontrer tombent sincèrement amoureux. Un dépaysement garanti.
Un pari sur l’amour de Shirley Jump
Echaudée par l’échec de son premier mariage, Callie se méfie des hommes, et hésite à s’engager de nouveau. Jusqu’à ce qu’elle fasse la connaissance de Harry Faulkner, un chercheur aux allures de top model dont le charme sexy la séduit dès le premier regard. Très vite, les rendez-vous s’enchaînent et pourtant, Callie a l’impression que son compagnon, s’il se dit très amoureux, hésite à donner un tour plus sérieux à leur relation. Intriguée, elle cherche à en savoir plus et ne tarde pas à découvrir que leur rencontre ne doit rien au hasard, et que Harry s’est servi d’elle…
Avis de Gaëlle : avis +
Encore une fois, il ne faut pas se laisser mystifier par la quatrième de couverture. Point de Harry dans ce roman, mais un héros répondant au nom de Jared. Nous rencontrons Callie, une fleuriste spécialisée dans les compositions florales de mariage mais qui ne croit plus à l’amour. Un soir, elle rencontre dans un bar Jared, un ami d’enfance, mais aussi un ancien amant à qui elle a brisé le cœur. Au gré de leurs rencontres, et en faisant table rase de leu passé, personnel et commun, ils réapprennent la vie. Un bon divertissement, on se surprit parfois à sourire lors de certains passages.
L’amant italien de Lucy Gordon
Indépendante, déterminée, enthousiaste, Celia est une femme moderne, bien décidée à mener sa vie comme elle l’entend. Aussi sa rencontre avec Francesco Rinucci, un homme d’affaires italien un brin macho et autoritaire, provoque-t-elle quelques remous dans son existence. Car celui-ci se montre vite très possessif et jaloux à son égard, à la mesure, dit-il, de la passion qu’elle lui inspire… Très amoureuse de Francesco, mais convaincue qu’il lui faut régler ce différend si elle veut donner à leur amour une chance de durer, la jeune femme décide de le mettre à l’épreuve en disparaissant quelques jours sans laisser d’adresse…
Avis de Valérie : avis +
On a le sentiment que l’éditeur n’a pas compris que l’héroïne était aveugle puisque ni le résumé, ni la couverture française n’en font état. Néanmoins, Lucy Gordon est une faiseuse de romance renommée et si on sent quelques maladresses liées peut-être au caractère buté de Celia, ce roman s’inscrit dans une bonne lignée et fait partie d’une série tournant autour de la famille Rinucci. On pourrait regretter un meilleur traitement du récit, notamment car ce n’est pas tous les jours qu’une héroïne de la trempe de Célia arrive dans une romance, mais il est parfait pour cette collection.
Fiche Technique
Format : poche
Pages : 213
Editeur : Harlequin
Collection : Horizon
Sortie : 15 octobre 2008
Prix : 3,70 €