Le jeunesse de Blueberry, 15e du nom

Quand Jean-Michel Charlier et Jean Giraud on créé les albums de la jeunesse de Blueberry, c’était pour expliquer l’origine de la genèse de l’enfance du héro. Les éditions Dargaud, ayant saisi l’affaire au bond, en on sûrement fait une affaire commerciale, mais l’aventure tourne à la farce.

Déjà, il y a deux page de résumé des épisodes précédents, parce que, même en connaissant la série par coeur, c’est tellement délayé, que je m’y disperse comme un gouvernement pendant ses vacances au mois d’août !

Blueberry avait l’habitude de nous tenir en haleine et de proposer des situations de scénarios qu’on imaginerait même pas pour ses pires ennemis ! Mais avec la jeunesse de Blueberry, l’aventure tourne court. Insipide est le mot, qui, je pense, convient le mieux. Blueberry va se tirer d’une façon aussi molle que possible, d’un mauvais pas qui est plus banal que banal [[Si, ça peut, cherchez bien pour voir]]. Malgré une bricole historique qui le met en face de la légion étrangère française venue défendre les intérêts mexicains de l’empereur Maximilien, on n’y croît pas une seconde !

Et j’ai gaspillé au moins 8 € ! Le dernier album aurait du me mettre la puce à l’oreille, mais c’est plus fort que moi. Fan inconditionnel, je me fais avoir … comme pour Astérix tiens !

Connaissant les auteurs pour d’autres création[[Parce qu’on si on sent le scénario forcé, les dessins et couleurs sont magnifiques !]] je sais qu’ils savent faire autre chose que de reprendre une série parce que l’éditeur le leur demande. Une série peut mourir, après tout, c’est dans l’ordre des choses, surtout si elle laisse une bonne impression [[Sans jeu de mot !]].

Allez hop, j’efface tout, vous êtes prevenu(e)s. Au suivant !

fiche technique

La jeunesse de Blueberry

tome 15 : La sirène de Véracruz
Scénario de François Corteggiani
Dessins de Michel Blanc-Dumont
Couleurs de Claudine Blanc-Dumont.