Kirikou et la sorcière remporte un succès similaire à celui des Aventures de Wallace et Gromit, d’Anastasia, de Fourmiz, du Prince d’Egypte ou de Shrek. De fait, la toute puissance des studios Disney qui, sentant le vent tourner travaillent désormais avec des dessinateurs français, s’aménuisent. Leur part de marché chute de 95 % à 55 %. C’est une excellente nouvelle. Même si la petite fille en moi adore les productions du studio américain, je suis pour la pluralité de l’art donc des origines culturelles.
Deux chiffres de l’animation française : 50 entreprises pour 2 000 emplois.
Actuellement, on peut voir Renaissance en salle.