Publié chez Panini manga entre 2002 et 2006, Banana Fish d’Akimi Yoshida ressort aujourd’hui dans une édition luxueuse.
Très volontiers influencée à l’époque par les films américains tels Easy Rider, Full Metal Jacket, l’autrice en revendique l’influence. Banana Fish explore les thèmes tels que le trafic de drogue, la prison et ses violences endémiques. Les récits de séries, de littérature ont alimenté depuis les références et l’imaginaire du lecteur. De fait, résolument précurseur dans ses thèmes, son écriture, son découpage, sa narration, empruntant autant au genre shôjo, shônen que seinen, Banana fish est devenu au fil des années, un classique du polar seinen.
Présentation de l’éditeur
« – Une nuit au Vietnam, un mec de mon unité a complètement disjoncté. Il a chopé un M16 et il a tué trois de mes hommes.
– Il était shooté ?
– Je crois, ouais. Ils l’ont emmené dans un hôpital à Saïgon mais on a perdu sa trace. La dernière chose qu’il m’ait dite avant de disparaître, c’est… « Banana Fish ».
– Intéressant mais… si quelqu’un ou une organisation de ce nom existe, on aurait dû en entendre parler depuis le temps, non ? »
Ainsi commence Banana Fish…
Fiche technique
Format : broché
Pages : 378 (chaque tome continent 2 volumes de l’édition normale)
Editeur : Panini Manga
Sortie : 31 mars 2021
Prix : 16 €
La série sera complète en 10 volumes.
La traduction sera entièrement revue.
Chaque volume contiendra 1 carte postale en bonus.
Vinsa