– Il est temps d’accomplir ton destin.
La base rebelle est attaquée par les forces impériales. Euh rectification : la base de la Résistance est attaquée par le Premier Ordre. Néanmoins, grâce à un audacieux pilote, ils réussissent à s’échapper. Cependant, un unique vaisseau rebelle est traqué suite à une hyperpropulsion défectueuse… Mais non ! Toute la flotte de la Résistance est pourchassée, car la flotte ennemie dispose d’un traqueur de l’hyperespace.
Pendant ce temps, un apprenti jedi (rectification une apprentie) se trouve à la recherche de son maître sur une planète marécageuse (allons, c’est une planète-océan !).
Une fois retournée au combat, l’apprentie se verra faire une offre du genre : « Ensemble, nous pourrons régner sur la galaxie ! »
Bon, il est évident que le scénario ressemble un peu, beaucoup, à celui de L’Empire contre-attaque. Cependant, Disney a innové. Ainsi, les trilogies précédentes avaient démontré l’existence de missiles pour les combats spatiaux. Ici, il s’est apparemment produit une régression technologique. En effet, les bombardiers de la résistance disposent de soutes à bombes. Évidemment, ils doivent se placer au-dessus de l’ennemi, ce qui est assez risqué et cela implique que la cible ne bouge pas ! Au fait… comment les bombes peuvent-elles tomber en apesanteur ?
Quant au sacrifice d’un officier qui utilise son vaisseau pour percuter un vaisseau ennemi, c’est noble, romantique… et complètement idiot. Il aurait été préférable de le faire depuis le début, ce qui aurait évité un massacre. De plus, il était parfaitement possible de confier le rôle du pilote-suicide à un droïde. Au fait, si c’était si facile, pourquoi cette méthode n’a-t-elle pas été utilisée plus tôt dans une autre trilogie. Pour détruire quelques Étoiles de la mort par exemple ?
Rappelons que ce n’est plus Georges Lucas qui se trouve aux commandes, mais Disney !