TF1 – Mais où est donc passée la 7e compagnie ?


En ce clair matin de mai 1940, l’armée française reculait selon le porte-parole du Grand Quartier Général, dans les meilleures conditions. Jamais aucune armée avant celle-ci n’avait reculé aussi bien, ni surtout aussi vite. Le grand quartier général n’allait pas jusqu’à dire que c’était un plaisir de reculer ainsi… Mais presque…

1940, qui sauvera l’honneur de l’Armée française ? Les soldats Pithivier (Jean Lefebvre), Tassin (Aldo Maccione) et Chaudard (Pierre Mondy) ? Euh… personne d’autre ?

Ces trois membres de la septième compagnie de transmission sont les seuls de leur unité à avoir échappé à la capture (dont ils sont involontairement responsables).

Récupérant (involontairement) une dépanneuse blindée allemande, ils partent pour un périple qui se veut héroïque, mais qui se révélera quelque peu catastrophique.

L’humoriste Robert Lamoureux (alias le colonel Blanchet, adepte du « Pas si vite ! ») s’est inspiré de son expérience de la débâcle de 1940 pour réaliser ce film qui traite avec humour de choses sérieuses.

Outre le séjour de nos trois héros dans un cimetière et les manifestations régulières d’incompétence, le personnage de l’épicier versant très tôt dans la collaboration annonce les années d’occupation.