– Nous sommes en dehors de l’espace-temps.
L’avion dans lequel se trouvait le jeune Lucas (Darius Williams) s’est écrasé sur une île peuplée d’indigènes patibulaires et… de dinosaures. Il y rencontre une jeune fille nommée Kate (Kate Rasmussen), qui affirme être arrivée sur place dans les années 50. Elle lui explique qu’un phénomène attire sur place objets et créatures de différentes époques.
Bon, pour l’instant, les deux naufragés du temps sont confrontés au problème de la survie. Kate a l’expérience du terrain. Quant à Lucas, il a apparemment vu un certain film. Ainsi, il connaît très bien la procédure à adopter lorsqu’un dinosaure carnivore se trouve dans les parages :
– Il ne nous voit pas si on reste immobile.
Surprise, Kate lui explique alors qu’en fait ce dinosaure affamé les voit très bien. Ah, bon,… problème.
Ce film familial est le premier à avoir représenté des dinosaures à plumes. Eh oui, il n’y a pas qu’en ce qui concerne leur système de vision que les conceptions de Steven Spielberg sont obsolètes.