Portrait Chtinois 2020 : Maxime Gillio

Cette année, le thème du Salon est l’urban fantasy, quoi de mieux pour exciter l’imaginaire des lecteurs comme celle de nos chers auteurs !

On s’attaque maintenant au morceau de choix, le big boss, le taulier, le tatoué aux chemises à fleurs, Maxime Gillio. C’est bien simple, sans lui, point d’Halliennales. Avec Sophie Jomain, ils n’ont pas seulement commis quelques romans, mais ont également accouché de Salons pour la littérature de genre dans les Hauts de France et on ne peut que les en remercier !

Si vous étiez un type de héros/héroine d’urban fantasy, vous seriez lequel ?

Maxime Gillio : Un justicier solitaire, sombre, ténébreux et mystérieux, qui cacherait son identité le jour sous l’apparence d’un professeur de littérature à la fac.

Et quel méchant ?

Maxime Gillio : Le même, mais en hypoglycémie. Tu n’as pas idée de comment je peux être méchant quand j’ai la dalle.

Si vous étiez un type de rouge, quelle nuance ? Même question pour le bleu qui est souvent choisi pour les couvertures de romans d’urban fantasy ?

Maxime Gillio : Tu sais que tu poses la question à un mec ? Et que par définition, les nuances de couleurs chez un homme se comptent sur les doigts de la main d’un lépreux ? Alors je dirai rouge bolognaise et bleu équipe de France.

Si vous étiez le dessert favori d’un vampire ?

Maxime Gillio : Une orange sanguine (genre je vais être le seul à trouver cette réponse…).

Si vous étiez un type de paysage à faire rêver un loup-garou, ce serait lequel ?

Maxime Gillio : Les Highlands d’Écosse, la patrie de ma grand-mère.

Si vous aviez le pouvoir de changer votre apparence comme un fae, vous seriez comment ?

CMaxime Gillio : Comme un pantalon. Le fameux Fae dans son froc.

Si vous pouviez vous transformer en n’importe quelle forme animale comme un métamorphe, laquelle éliriez-vous ?

Maxime Gillio : Un paresseux. Juste pour voir ce que ça fait de vivre au ralenti. Il paraît que certains y arrivent, je les envie…

Si vous deviez lutter contre une attaque de zombies aux Halliennales, avec quelle arme ou pouvoir vous défendriez-vous ?

Maxime Gillio : Une vidéo de l’assemblée du syndicat national des éditeurs. Ça sent bien le moisi, mais pour des zombies, c’est impeccable.

Si vous étiez un auteur connu d’urban fantasy, vous seriez lequel et pourquoi ?

Maxime Gillio : J’attends d’assister à la table ronde que tu animeras sur ce thème pour me décider.

Présentez-nous votre univers et votre (ou vos) dernière sortie ?

Maxime Gillio : Le deuxième tome de Super-Héros, ma série jeunesse chez Flammarion. Je ne sais pas si c’est de l’urban fantasy, mais mes jeunes lecteurs semblent apprécier cette saga d’adolescents aux super pouvoirs.

Y-a-t-il une formule magique que les visiteurs des Halliennales doivent annoncer avant de vous rencontrer ?

Maxime Gillio : « J’ai apporté du saucisson sec. Je répète : j’ai apporté du saucisson sec ! »