Paris Première – Rock

Bienvenue à Alcatraz.

Stanley Goodspeed (Nicolas Cage), expert en armes chimiques au sein du F.B.I., est convoqué pour une réunion d’urgence. Le général Frank Hummel (Ed Harris) a dérobé un stock d’armes chimiques. Avec quelques-uns de ses hommes, il a pris en otage les touristes qui visitaient l’île d’Alcatraz. Dans l’ancien pénitencier, il a installé des missiles pouvant lancer le gaz neurotoxique sur la ville de San Francisco. Ses exigences impliquent le versement de cent millions de dollars.

Une action de sauvetage est décidée. Mais les plans de la prison sont incomplets et son dernier directeur est décédé. La seule solution consiste à faire appel au seul prisonnier d’Alcatraz ayant réussi à s’évader. Il s’agir du citoyen britannique Jon Mason (Sean Connery) détenu illégalement dans différentes prisons américaines depuis plus de trente ans.

Film d’action spectaculaire Rock utilise de nombreuses références. Une image d’archive représentant Hummel durant la guerre du Vietnam est en réalité tirée d’un des tous premiers rôles d’Ed Harris dans le film policier Borderline (Chicanos, chasseurs de têtes, 1980) avec Charles Bronson.

Il apparaît que Barton est un agent des services secrets britanniques. Toute référence à James Bond (interprété autrefois par Sean Connery) est évidemment fortuite. Il doit son incarcération au vol d’un microfilm contenant tous les plus grands secrets des États-Unis (y compris l’identité de l’assassin du président Kennedy). Cette allusion à la plus grande spéculation de la culture américaine se retrouve d’ailleurs dans Benjamin Gates et le livre des secrets interprété par… Nicolas Cage.