OCS Max – The White princess

Basé sur le roman de Philippa Gregory, ce drame historique teinté de soap est raconté du point de vue des femmes. Leurs destins se partagent alors entre une influence certaine mais peu reconnue et un manque flagrant de considération lorsqu’il s’agit de prises de responsabilité à l’époque médiévale.

Voici ce qu’en disent les membres de l’équipe technique !

Le souci du détail est primordial. Tous les moyens ont été mis en œuvre pour apporter de l’authenticité aux décors et aux costumes. « Nous ne savons pas grand-chose de ce qui se passaient dans l’intimité, à cette époque, car cela n’a pas été très documenté. Mais leur environnement, le décorum de leur monde, nous le connaissons en tant qu’historiens et nous pouvons leur donner vie », explique James Clark.

Le chef décorateur Will Hughes-Jones a fait fabriquer un décor gigantesque aux studios The Bottle Yard à Bristol, avec une quinzaine de pièces interconnectées, représentant certains espaces du Palais de Westminster. Un décor particulièrement difficile à construire : « C’est un lieu à très grande échelle qui concentre les différentes fonctions de la royauté » explique James Clark.

Il a fallu une équipe de 200 personnes à l’œuvre pendant sept semaines pour fabriquer un tel décor. De nombreux éléments de l’Histoire sont reflétés à travers l’architecture même du lieu. « Dans ce palace, le secret et les messes-basses étaient de rigueur. On écoutait beaucoup derrière les portes. Quand nous avons créé ce lieu, nous nous sommes assurés de mettre des trous de serrures et des petits recoins où l’on pouvait se cacher pour épier une conversation sans être vu » explique Will Hughes-Jones.

La costumière Phoebe de Gaye, a eu la lourde tâche d’habiller les personnages. « C’est une période étrange, rarement mise en image car elle est charnière. C’est la fin du XVe, donc plus vraiment le moyen-âge, mais pas encore tout à fait l’ère des Tudor. » explique-t-elle.


The White Princess – dès le 17 avril en US+24… par OCS